de nouvelles données pour mieux protéger la population

de nouvelles données pour mieux protéger la population
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Des scientifiques canadiens se sont penchés sur des endroits considérés à haut risque d’incendies de forêt, notamment au Québec où l’on compte jusqu’à 15 000 bâtiments considérés comme étant dans une telle situation.

Alors que la saison des incendies de forêt approche à grands pas et que plusieurs secteurs du Québec sont actuellement considérés à risque sur la carte de la SOPFEU, de nouvelles données permettent de déterminer les communautés les plus exposées à travers le Canada.

  • Écoutez l’interview de Stéphane Caron, coordonnateur de la prévention et des communications de la SOPFEU avec Mario Dumont sur QUB :

«Ça permet d’avoir une information uniformisée pour tout le Canada et cela permet un meilleur échange des meilleures pratiques», a souligné Évelyne Thiffault, spécialiste en aménagement forestier à l’Université Laval, en entrevue à LCN vendredi.

Selon cette nouvelle étude, 1,8 million de Québécois vivent dans des régions forestières à risque et près de 20 000 d’entre eux dans des zones à risque élevé.

« L’expérience de l’année dernière et ces nouvelles connaissances scientifiques fournissent des idées sur la façon dont nous pouvons développer des infrastructures communautaires dans un climat où les incendies sont susceptibles d’être plus présents », a expliqué l’expert.

 
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