Après cinq mandats au Parlement européen, l’ancien journaliste de RTL quitte la politique active. Fier du travail accompli. Déçu de ne pas avoir eu le choix de figurer (ou pas) sur la liste européenne MR.
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Chef adjoint de la Division Internationale
Par Véronique LamquinPublié le 26/04/2024 à 06h00
Temps de lecture : 11 min
Les cartons sont encore vides, les plantes n’ont pas quitté le bureau, Frédérique Ries « a encore besoin d’un peu de vert ». Mercredi 14h30, les libéraux viennent de remporter leur dernière victoire législative à Strasbourg : de nouvelles règles européennes visant à réduire, réutiliser et recycler les emballages. «Cinq mille heures de travail. Les Pfas sont notamment interdits, une première mondiale. » Quelques heures plus tard, l’ancienne journaliste de RTL mettra fin à ses 25 ans de carrière au Parlement européen.
Que ressentez-vous en quittant votre bureau de Strasbourg ?
C’est beaucoup d’engagement, de convictions, d’investissement. Donc je n’ai pas pleuré, c’est une question de tempérament. Et puis, je crois que ce départ ne s’est pas très bien passé, que les coups, je les ai peut-être déjà pris et absorbés.
Coups ?
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