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L’entraîneur de Vasco da Gama, le club où évolue Dimitri Payet, a eu des propos déplacés à la fin du deuxième match de la saison du championnat brésilien, remettant en cause la présence des femmes dans l’arbitrage.
Le nouveau club de Dimitri Payet fait des vagues au-delà des frontières. Pourtant, l’ancien Marseillais n’a rien à voir dans cette histoire. C’est son entraîneur, Ramon Diaz, qui a commis une grosse erreur en fin de rencontre entre Vasco da Gama et Bragantino.
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Agé de 64 ans, le manager argentin du club situé à Rio a exprimé son mécontentement à l’issue de ce match perdu sur le score de 2-1. Il s’en est pris à l’arbitrage, visant notamment Daiane Muniz, l’arbitre féminine en charge du VAR lors de ce match.
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« On ne peut pas dire grand chose sur les arbitres, il y a le VAR. Lors du dernier match, une dame, une femme, a interprété un penalty différemment. Le football est différent et le fait que le VAR soit décidé par une femme me semble assez compliqué parce que le football est tellement dynamique, avec tellement de pression et avec des décisions si rapides”, rapportent SoFoot et l’AFP.
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Ces déclarations, considérées comme machistes, ont suscité la controverse au Brésil et dans de nombreux autres pays. Face à ce déferlement de réactions, Ramon Diaz a souhaité clarifier ses propos en rencontrant des journalistes quelques minutes après sa conférence de presse.
O Vasco da Gama a déploré la déclaration du technicien Ramón Díaz et a réaffirmé ou compromis pour renforcer les mesures et directives éducatives nécessaires en accord avec ses déterminations, valeurs et principes. Pedimos, asim como nosso técnico, desculpas.#VascoDaGama
– Vasco de Gama (@VascodaGama) https://twitter.com/VascodaGama/status/1780790301075927360?ref_src=twsrc%5Etfw
“Ce que je voulais dire, c’est qu’une seule personne ne peut pas décider, prendre une décision aussi importante que celle de l’intervention du VAR”, a-t-il déclaré avant que son club n’ajoute une couche d’excuses tout en prônant des valeurs d’égalité.
