Anthony Delon et Paul Belmondo liés par un accident d’hélicoptère

Anthony Delon et Paul Belmondo liés par un accident d’hélicoptère
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Un drame évité de peu. Anthony Delon et Paul Belmondo sont les fils de deux légendes du cinéma Alain Delon et Jean-Paul Belmondo. Ensemble, ils ont évoqué au magazine « Paris Match » ce mercredi 17 avril leur vie de famille, leur amitié, avec notamment quelques anecdotes mémorables.

Lors de cet entretien, Anthony Delon et Paul Belmondo se souviennent de leur première rencontre à l’Élysée. Une amitié qui était une évidence pour les deux comédiens : « Nous avions 17 ans, c’était à l’Élysée Matignon. Une attraction éblouissante», explique en riant Anthony Delon. Paul Belmondo, de son côté, répond avec complicité : « Deux aimants ! Nous nous sentions libres à 100% mais, en fait, nos pères gardaient un œil sur nous. »

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Une complicité depuis l’adolescence qui ne les quitte plus. En effet, les deux hommes révèlent qu’ils ne restent pas longtemps sans s’entendre. Anthony Delon déclare à ce sujet : « On s’appelle, c’est vrai, on s’envoie des messages pendant les Grands Prix de F1… Quand on était plus jeunes, on partait aussi en vacances. »

Des vacances mémorables

Parmi les 400 coups vécus ensemble, les deux hommes revenaient de leur Paris-Dakar en 1989 et plus particulièrement le jour où ils eurent un accident d’hélicoptère. “Nous avons failli mourir ensemble dans un accident d’hélicoptère !” », déclare Paul Belmondo. Une étonnante révélation à laquelle Anthony Delon a vivement réagi, rappelant d’emblée : « Un peu de votre faute. » Le fils de Jean-Paul Belmondo poursuit en expliquant : « C’est vrai, j’avais envie de descendre faire pipi. L’avion s’est retourné face au vent, la turbine est tombée en panne, les patins se sont cassés et nous avons failli nous retourner. »

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Une anecdote qui aurait pu prendre une toute autre tournure. « Paul était derrière, adossé à 200 litres de kérosène, on aurait pu exploser. Vous imaginez les gros titres des journaux ! », poursuit Anthony Delon avec ironie. Une anecdote conclue par Paul Belmondo qui ajoute : « Et après, on s’est retrouvé dans la voiture du pilote Jean-Louis Schlesser, à 170 km/h dans le désert, sans casque, pas attaché… Il a vraiment fallu être complètement fou. »

 
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