panique à bord d’un vol à destination de Nice après deux atterrissages ratés

panique à bord d’un vol à destination de Nice après deux atterrissages ratés
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Ce vol entre Toulouse et Nice ne s’est pas tout à fait déroulé comme prévu.

Au lieu d’atterrir comme prévu après une heure de vol à l’aéroport Nice Côte d’Azur, l’avion a été contraint d’atterrir à Gênes après deux tentatives d’atterrissage.

Cette escale forcée en Italie, intervenue dans l’après-midi du mardi 2 avril, a été décidée par le pilote de l’avion après deux tentatives d’atterrissage infructueuses en raison du vent.

“On a quitté Toulouse à 16h25. Jusqu’à Nice, tout allait bien, c’est juste avant l’atterrissage que je me suis dit que l’avion prenait un virage un peu brusque… Et à 20 mètres du sol, il remet les gaz”. Ce passager qui se trouvait à bord raconte ce moment de peur à nos confrères de France 3.

Tristan Valmy, créateur de contenus internet qui compte plus de 100 000 abonnés sur Instagram, a partagé sa mésaventure. Habitué à voler, il n’est pas forcément très inquiet au début, mais lors de la deuxième tentative infructueuse, la panique s’installe.

« Je me suis dit que ça pouvait arriver de rater un atterrissage. Et le capitaine a dit que c’était une procédure normale. il explique.

Le pilote s’exprime alors, en anglais, pour expliquer que l’atterrissage n’a pas pu se faire à cause du vent fort. Après déjà 45 minutes de retard, l’avion a tenté d’atterrir une deuxième fois.

« Les gens derrière moi ont commencé à imaginer le pire »

Mais au moment d’entamer la deuxième descente vers la piste d’atterrissage de Nice, l’une des plus belles du monde mais aussi l’une des plus compliquées, Tristan Valmy se dit encore que l’avion n’était pas favorablement positionné. , “même si je ne suis pas un professionnel de l’aviation.”

Et encore une fois, le pilote fait le tour au dernier moment. « Là, on se dit, qu’est-ce qui se passe ? On a paniqué, les gens juste derrière moi ont commencé à imaginer le pire, à parler de boîtes noires, etc.

Capture d’écran de la story Instagram de Tristan Valmy ce mardi 2 avril.

Contraint d’atterrir à Gênes pour s’approvisionner en kérosène

Cette fois, le pilote a indiqué qu’il ne pouvait pas atterrir à Nice en raison des vents violents et que l’avion devait atterrir à Gênes pour faire le plein de kérosène.

« Ce que je ne comprends pas, c’est que des avions se sont posés à l’aéroport de Nice juste avant nous, voire 5 minutes avant notre tentative d’atterrissage. Nous avons regardé sur Internet», demande Tristan Valmy.

Les passagers y passent environ une heure et demie. « Pendant 45 minutes, nous n’avons eu aucune information. Personne ne savait ce qui allait se passer, mais les gens étaient soulagés d’être à terre et l’équipage a bien pris soin de nous.précise le Niçois, qui voyageait sur un vol de la compagnie easyJet.

Vents cisaillements

Les passagers sont finalement arrivés à destination avec un retard de près de trois heures. L’avion a redémarré vers Nice et a pu atterrir à 20h15 au lieu de 17h20.

« À l’époque, on avait très peur, après ça s’est amélioré. C’est principalement parce que nous n’y sommes pas habitués.» confia le passager.

En effet, « les remises de gaz pour vents cisaillements sont très classiques », précise l’aéroport Nice Côte d’Azur.

 
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