Un héritage à perpétuer dans la race pichous pour ève-marie lortie

Un héritage à perpétuer dans la race pichous pour ève-marie lortie
Un héritage à perpétuer dans la race pichous pour ève-marie lortie

Bien qu’il ne parviendra pas à la distance de 15 kilomètres, ce qui est aux rênes du spectacle du matin Bonjour bonjour Il est certain que le fait d’être présent dans cet événement, qui est une véritable tradition annuelle parmi Lortie. Un vrai rassemblement familial qui est célébré pendant trois jours, la course est achevée près de vingt fois par son père, Guy, depuis le début des années 1980. Par la suite, la deuxième génération a rejoint le mouvement, avec le président honoraire ainsi que son frère et sa sœur. Quelques années plus tard, le troisième a emboîté le pas.

«Je voudrais que le mot se produise ailleurs. Quand je parle de la course du pichous pour les gens autour de moi, ceux qui font du jogging me disent à quel point il est intéressant que l’itinéraire soit beau. Races de 15 km, il n’y en a pas beaucoup au Québec. Cette distance est opportune pour ceux qui se préparent à semi-marathon et peuvent devenir un objectif pour beaucoup. Je serais vraiment fier de convaincre les gens de l’extérieur de s’intéresser à la course », explique ève-marie Lortie.

Les sentiments seront encore plus spéciaux pour la principale partie intéressée, dont la mère est décédée l’été dernier à la suite d’une maladie éblouissante. Au-delà de la présidence honoraire, elle profitera du cours et des festivités pour remercier et poursuivre l’héritage de ses parents.

«Nous allons soulever nos lunettes à nos parents. Le discours des modes de vie sains n’était pas à la mode dans les années 1980, mais notre père nous a appris à bouger. Mon frère, ma sœur et moi sommes restés des gens actifs. Maintenant, nous transmettons cela à nos propres enfants, qui sont rendus grands maintenant. Il nous a montré l’importance de l’activité physique, que ce soit dans un contexte de compétition ou non. La formation pour réussir dans un défi a toujours fait partie de nous. Pour sa part, notre mère nous a dit que nous devions faire partie de ces choses. “

– Ugly Marie Lortie, présidente honoraire de la 57e course Pichy.

Cours rempli d’émotions

Autant que les souvenirs de famille remplissent la tête de l’Eille-Marie Lortie pendant la course pichous, l’itinéraire passe l’hôte de plusieurs gammes d’émotions au cours des 15 kilomètres. Après avoir traversé l’intersection de Boulevard Saguenay et de Rue Powell, son défilé d’enfance et d’adolescence en quelques secondes.

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En plus de passer devant son ancienne école primaire, elle voit ses yeux se remplir d’eau lorsqu’elle arrive près de l’église Sainte-Thérèse, le quartier où elle a grandi.

Près de 2 400 coureurs ont participé à la course pichous en 2024. (Sophie Lavoie/Archives Le Quotidien)

«Ma primaire a été réalisée dans Notre-Dame-du—-Toure. Sur ma gauche, il y avait un restaurant dans l’ancien Magasin d’angle. C’est en travaillant dans cette collation que je suis devenue une jeune femme responsable. Les émotions me gagnent vraiment, et ils me suivront jusqu’au rond-point de Sainte-Thérèse, ce qui était donc très compliqué lorsque j’ai appris à conduire. C’est vraiment à la maison », se souvient le président honoraire.

La 57e édition de la course Pichous aura lieu le 8 mars. Près de 2 400 coureurs avaient couru et quitté la distance l’année dernière.

 
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