il continue de se rendre indispensable

il continue de se rendre indispensable
il continue de se rendre indispensable

Les Canadiens de Montréal ont remporté un match très serré hier soir en battant les Red Wings de Détroit par la marque de 4 à 3.

Le CH a donc non seulement mis plus de 30 rondelles au filet pour la première fois de la saison, mais a aussi su se montrer très combatif pour revenir par derrière en troisième période et l’emporter à égalité.

Globalement, ce fut un excellent match pour le CH, qui a su bien performer dans chaque aspect du jeu, soit le jeu à cinq contre cinq, l’avantage numérique (1 en 2) et le désavantage numérique (0 but accordé). en 4 occasions pour Détroit).

Pour ce dernier aspect du jeu, à savoir l’infériorité numérique, il faut encore une fois accorder beaucoup de crédit à Jake Evans.

Le centre du CH a encore une fois été excellent à court d’un homme, en plus de trouver le moyen de provoquer un revirement et de marquer un magnifique but en infériorité numérique.

Avec ce but, Evans a mis fin à l’horrible séquence de dix évasions consécutives du Tricolore sans s’en rendre compte.

Bref, après avoir raté un filet désert en début de match, Evans a excellé hier soir, alors qu’il était clairement le meilleur joueur du Tricolore, et surtout le joueur le plus utile du CH.

Avec un but, une passe, un différentiel de +3, deux tirs, deux mises en échec et un taux d’efficacité de 50% dans les cercles de mise en jeu, Evans a démontré que son travail plus que acharné a porté ses fruits. l’équipe.

Il y a également une excellente alchimie dans ce trio avec Emil Heineman et Joel Armia, ce qui rend Evans encore plus indispensable que vous ne le pensez.

Il rend ses coéquipiers meilleurs, et cela pèse énormément sur le CV d’un joueur.

Et disons que cette saison, le CV d’Evans est vraiment excellent, et il continue de s’améliorer, ce qui risque de forcer la direction du CH à prendre une très grosse décision.

En effet, étant donné qu’Evans en est à sa dernière année de contrat (1,7 millions de dollars annuellement), il devient un joueur très facile à échanger et qui aura une valeur très élevée sur le marché des transactions.

Il pourrait rapporter beaucoup d’argent au CH à la date limite des échanges en mars, mais en même -, s’il est si bon, pourquoi le CH l’enverrait-il ailleurs ?

Peu importe le match, peu importe la situation et peu importe le score, le CH peut toujours compter sur Jake Evans.

C’est le genre de joueur de profondeur qu’on veut dans son équipe, et encore plus cette saison, puisque le numéro 71 du CH produit des points au meilleur rythme de sa carrière.

En effet, Evans accumule des points beaucoup plus facilement qu’avant et ses 18 points le placent au 4e rang des meilleurs marqueurs du CH, seulement derrière Nick Suzuki (32), Cole Caufield (30) et Lane Hutson (23).

Ce n’est pas rien, et cela en dit long sur l’excellente saison d’Evans.

À 28 ans, Evans entre dans la meilleure période de sa carrière, et donc, le CH gagnerait clairement à retenir ses services, même si sa valeur est à son plus haut présentement.

Il est clair que si le CH décide de garder Evans, il devra lui accorder une très belle augmentation salariale.

Personnellement, je crois que la meilleure décision serait de garder Evans à Montréal, en lui accordant un contrat à long terme d’environ cinq ans pour 3,5 millions de dollars par année.

Avec l’augmentation du plafond salarial, un tel contrat ne serait en aucun cas une charge pour le CH.

Bref, au final, je crois que laisser partir Evans pour faire de la place à un jeune serait contre-productif, étant donné qu’il faut des vétérans dans l’équipe, et Evans en est devenu un.

L’histoire d’Evans est également inspirante, puisqu’il était un choix de septième ronde (207e au total) en 2014 et qu’il a quand même trouvé un moyen de se rendre dans la LNH et de s’y établir.

En rafale

– Très belle victoire de Jakub Dobes.

– Voici le plan de la journée au CH.

– A ne pas manquer aujourd’hui.

– Intéressant.

– Cela va continuer.

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Jean Le Cam premier skipper d’un Imoca à dérives droites à franchir le Cap Horn
NEXT Face à son père, Devin Carter débute enfin sa carrière • Basket USA