il détruit Martin St-Louis sur la place publique

Dans un geste qui ne surprendra personne habitué à son franc-parler, Bob Hartley a férocement critiqué Martin St-Louis pour sa gestion de Joshua Roy, affirmant publiquement que le jeune espoir n’a jamais eu la vraie chance qu’il méritait.

En pleine tourmente au sein du Canadien de Montréal, Hartley s’est montré tout simplement cinglant avec ses propos sur BPM Sports :

« Joshua n’a jamais eu de chance. Il n’a jamais été en mesure de jouer. »

Ces commentaires ne sont pas qu’une simple critique. Ils sont un message direct à Martin St-Louis, un entraîneur qui semble de plus en plus défié, et un signal aux partisans qui réclament un changement radical derrière le banc du Tricolore.

Depuis le début de la saison, Joshua Roy a montré des éclairs de talent, mais a été relégué à des rôles marginaux avant d’être rétrogradé.

Si Martin St-Louis voit dans cette décision une manière de « protéger » le jeune joueur, Hartley n’achète pas cette explication.

Pour lui, il s’agit d’une erreur stratégique majeure, qui trouve son origine dans une mauvaise lecture du potentiel de Roy.

Hartley a souligné que Roy aurait dû être mis en mesure de réussir, sans être limité par une direction timide :

« Quand on a de jeunes joueurs comme Roy, il faut les mettre dans des situations où ils peuvent se démarquer. Sinon, pourquoi les garder dans la LNH ? »

Pour Hartley, cette mauvaise gestion de Saint-Louis n’est pas un cas isolé. Cela reflète un problème plus large dans le traitement des jeunes joueurs au sein de l’organisation actuelle.

Sur les réseaux sociaux, les supporters se déchaînent. Les comparaisons avec Charles Hudon, un autre espoir québécois qui n’a jamais trouvé sa place avec le CH, fusent de toutes parts :

« Roy est le nouveau Charles Hudon. »

“C’est mérité et il n’était pas meilleur que ceux qui sont là !” Dommage pour lui ! »

Alors que certains défendent la décision de Saint-Louis, beaucoup accusent l’entraîneur de saboter non seulement Roy, mais tout le développement des jeunes joueurs.

La frustration grandit et Hartley, figure respectée et champion de la Coupe Stanley, semblait incarner la solution.

Le moment choisi pour formuler les critiques de Hartley n’est pas innocent. Alors que le Canadien enchaîne les défaites embarrassantes, le nom de l’ancien entraîneur revient dans toutes les conversations.

Pour plusieurs partisans, remplacer Martin St-Louis par Bob Hartley serait la meilleure décision que Geoff Molson puisse prendre. Après tout, Hartley est un entraîneur avec un palmarès impeccable :

Champion de la Coupe Stanley avec l’Avalanche du Colorado.

Ancien entraîneur des Flames de Calgary, où il a dirigé une jeune équipe pour dépasser les attentes.

Connu pour sa discipline et sa capacité à tirer le meilleur de ses joueurs.

En revanche, St-Louis, malgré son charisme et son histoire de joueur légendaire, montre de plus en plus ses limites en tant qu’entraîneur. Hartley a également ajouté une flèche bien ciblée à ce sujet :

« Ce n’est pas une équipe avec une structure. Ça manque de direction, et ça commence derrière le banc. »

Le refus de Martin St-Louis d’intégrer des personnalités expérimentées comme Hartley dans son équipe d’entraîneurs est un exemple flagrant de la primauté de son ego sur les besoins de l’équipe.

Toutefois, l’arrivée d’un Hartley, même dans un rôle consultatif, pourrait transformer l’ambiance perdante qui règne à Montréal.

Mais si Saint-Louis continue de rejeter toute aide extérieure et persiste dans sa gestion contestée, il risque de sceller son sort.

Les critiques de Hartley ne sont pas seulement une attaque personnelle : elles sont le reflet d’une frustration générale qui pourrait bien conduire à un changement derrière le banc.

Bob Hartley, avec son expérience et sa franchise, représente ce que Martin St-Louis n’est pas : un leader prêt à prendre des décisions difficiles et à imposer une discipline stricte.

Pour les partisans, Hartley est plus qu’un critique : il est le symbole de ce que pourrait devenir le Canadien si l’organisation acceptait enfin de tourner la page de l’ère Saint-Louis.

Le - presse pour Geoff Molson et Kent Hughes. Continuer à protéger Saint-Louis, malgré les critiques et les échecs, pourrait coûter cher à l’organisation.

Et si Hartley reste pour le moment dans l’ombre, son nom résonne déjà comme une évidence auprès des supporters.

St. Louis doit réagir, sinon Hartley pourrait devenir plus qu’un critique : il pourrait être le prochain homme derrière le banc.

Car après les déclarations cinglantes de notre Bob national, les réseaux sociaux ont pris feu.

« On a assez vu Martin St-Louis improviser derrière le banc. Le CH a besoin d’un vrai coach. Hartley serait parfait pour ramener la structure et responsabiliser les joueurs. »

«Cela amène Hartley à Montréal, non pas dans un rôle consultatif, mais à titre d’entraîneur-chef. Il est le seul à pouvoir gérer cette équipe avec discipline et rigueur. »

« St-Louis ne sait pas ce qu’il fait. Hartley a remporté une coupe Stanley. Pourquoi perdons-nous notre - ? »

Pour les partisans, Bob Hartley représente le contraire de ce qu’ils accusent de Martin St-Louis. Là où St-Louis est vu comme hésitant et parfois déconnecté des réalités tactiques de la LNH, Hartley est vu comme un technicien rigoureux, un homme de principes capable de donner une direction claire à l’équipe.

« Si le Canadien veut redevenir une équipe respectée, nous avons besoin de Hartley. Il a l’expérience, la discipline et surtout une vision. Saint Louis, c’est fini. »

Au-delà de Martin St-Louis, c’est toute la direction qui est remise en cause. Certains accusent Geoff Molson et Kent Hughes de s’en tenir à un entraîneur inexpérimenté simplement pour éviter les critiques des médias.

Une tendance que dénoncent les fans :

« Est-ce qu’on reconstruit ou on fait semblant ? St-Louis n’a aucune expérience. Hartley est disponible. Faites le bon choix. »

« Quelle est l’excuse pour ne pas embaucher Hartley ? » Il est québécois, il a gagné la coupe Stanley et il est prêt. Assez, Molson. »

Cette frustration collective grandit à mesure que les défaites s’accumulent et que le Canadien stagne en bas du classement.

« St-Louis n’est pas l’homme de la situation. Hartley pourrait remettre le Canadien sur les rails, et tout le monde le sait. Qu’est-ce qu’on attend ? »

La pression est désormais sur Geoff Molson et Kent Hughes. Si les résultats ne changent pas rapidement, l’appel des fans pour que Bob Hartley prenne les choses en main pourrait devenir impossible à ignorer.

Une chose est sûre : si St-Louis trébuche, l’ombre de Hartley plane déjà sur le Centre Bell.

 
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