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C’était l’un des choix forts de Didier Deschamps après le match entre la France et la Pologne. L’entraîneur des Bleus a décidé de placer Antoine Griezmann sur le banc alors que de nombreux titulaires habituels jouaient. Bien évidemment, le sujet a été évoqué en conférence de presse. « C’est un choix par rapport à l’option que j’ai prise dès le départ. N’allez pas interpréter. Il y a 8 ou 9 joueurs qui devaient jouer les trois matches complets. Je m’assure d’avoir une équipe la plus dangereuse pour l’adversaire. Ce soir, le but était d’opposer la vitesse aux cadors adverses», a répondu Deschamps dans des propos relayés par RMC Sport.
Le tacle de Deschamps aux journalistes
Un choix tactique donc, et pas de sanction selon Deschamps qui n’a pas manqué de pointer du doigt la presse, pour chercher des polémiques là où selon lui il n’y en a pas. « Antoine a joué l’intégralité des deux premiers matches, maintenant il joue 20 minutes. Tu as un nonos à mâcher, ça peut être Antoine, fais ce que tu veux. Je sais ce qu’il peut faire. Accrochez ce que vous voulez, ce n’est pas un problème, c’est un choix. Marcus a soufflé aussi, ça peut arriver aux autres. En huitième année ? Nous avons le temps. Il était meilleur lors du deuxième match. J’ai pris l’option de le faire sauter. Comment l’a-t-il vécu ? Professionnellement, avec le sourire. »
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Pour résumer
Didier Deschamps n’a pas hésité à se montrer cinglant au moment d’évoquer les polémiques autour de la présence de Griezmann sur le banc de touche. L’entraîneur des Bleus a pointé du doigt les journalistes qui cherchaient des problèmes.
