Le Comité national olympique et sportif français (CNOSF) a dévoilé ce jeudi la liste des candidats à la fonction de porte-drapeau lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques et paralympiques de Paris. Le vote aura lieu début juillet.
Qui succédera à Clarisse Agbégnénou, Samir Aït-Saïd, Stéphane Houdet et Sandrine Martinet ? La liste des candidats à la fonction de porte-drapeau de la délégation tricolore lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques (26 juillet) et paralympiques (28 août) a été dévoilée au siège du CNOSF (Paris) ce jeudi.
La liste des candidats à la fonction de porte-drapeau de la France à la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris :
- Wendie Fox (football)
- Mélina Robert-Michon (lancer du disque)
- Florent Manaudou (natation)
- Charlotte Bonnet (natation)
- Estelle Mossely (boxe)
- Sofiane Oumiha (boxe)
- Enzo Lefort (escrime)
- Pauline Ranvier (escrime)
- Earvin Ngapeth (volley-ball)
- Romane Dicko (judo)
- Renaud Lavillenie (pôle)
- Laetitia Guapo (basketball)
- Jean-Baptiste Bernaz (voile)
- Camille Lecointre (voile)
La liste des candidats à la fonction de porte-drapeau de la France à la cérémonie d’ouverture des Jeux Paralympiques de Paris :
- Nantenin Keita (para-athlétisme)
- David Smétanine (paranatation)
- Nalia Barbosa (para-canoë)
- Alexis Hanquinquant (para-athlétisme)
Chaque fédération avait la possibilité de présenter deux candidats, un homme et une femme. Cette liste de candidats sera désormais soumise au vote (électronique) début juillet de tous les athlètes sélectionnés, une fois les sélections terminées. Le résultat sera connu mi-juillet. Il s’agit d’un vote direct, une voix vaut une voix. Le binôme choisi à l’issue du vote ne peut appartenir à la même fédération.
Les conditions pour postuler étaient de n’avoir jamais été porte-drapeau, d’avoir déjà participé aux Jeux Jeux Olympiques et répondre à des critères exemplaires tout en respectant et incarnant les chartes olympiques. De nombreuses fédérations n’ont pas souhaité présenter de candidats. Le basket, par exemple, doit débuter sa compétition à Lille au lendemain de la cérémonie d’ouverture. Difficile donc de laisser quelque chose à 200 kilomètres la veille d’un rendez-vous crucial. Le problème s’est également posé pour le surf, le spot étant à Teahupo’o (Tahiti) à 18 000 kilomètres de Paris.
