ce qu’il faut retenir de la conférence de presse d’Albert Riera

ce qu’il faut retenir de la conférence de presse d’Albert Riera
Descriptive text here

Objectifs pour la fin de saison : « Gagner deux matchs sur les quatre derniers, le minimum »

Le top 5 étant hors de portée, le danger désormais lointain, les Bordelais devront cependant rester inquiets ces quatre dernières journées. « L’objectif est de gagner le prochain match. J’ai dit de passer au plus vite la barre des 50 points, c’est-à-dire de gagner deux des quatre derniers matches. C’est le minimum. Mais nous essaierons de tous les gagner. Contre Laval, on s’attend à devoir attaquer les blocs bas. L’exercice d’entraînement d’aujourd’hui, attaque contre défense en bloc bas, consiste précisément à trouver davantage de solutions. Parfois, les gens sifflaient parce que nous faisions passer le ballon dans notre terrain. Mais ça n’a pas d’importance : si on heurte un mur, il faudrait peut-être émietter un mot en le faisant sortir. Aujourd’hui, les joueurs comprennent mieux pourquoi on fait les choses. »

Pas question cependant pour lui d’utiliser les matches pour « tester » certains joueurs en vue de l’avenir : « Je choisis la meilleure équipe pour gagner les matches. Un entraîneur s’il ne gagne pas, il est éliminé. »

Supporters : « J’étais un peu déçu après le match »

Mardi soir, Albert Riera n’a pas souhaité commenter la frappe des Ultramarines, qui ont déserté le Virage Sud pendant 15 minutes puis ont décidé de ne pas encourager. Lui, de son propre chef, a voulu l’évoquer.

« J’ai souvent dit que les supporters sont la chose la plus importante dans le football et pour nous. Pendant la période Covid, il n’y avait personne au stade, c’était horrible de jouer comme ça. Quand j’étais enfant, s’il n’y avait eu personne dans les stades, je n’aurais peut-être pas joué au football. Sans supporters, le football ne serait pas le sport roi. Pour moi, les dirigeants doivent diriger ; les joueurs jouent ; le coach faisant son coaching et les supporters. Si nous faisons tous cela, nous nous porterons mieux. En tant que joueur, les supporters m’ont beaucoup aidé. J’étais un peu déçu après le match : on ne le saura jamais, mais on a gagné 2-0 et peut-être qu’avec eux on aurait gagné 5-0. (…) Les joueurs doivent être soutenus pendant 90 minutes. Après, si on fait un match catastrophique comme à Annecy (3-1), ils peuvent venir nous voir et nous dire « mais tu as fait quel match là ? »

Vital Nsimba : « s’il y a quelqu’un qu’on ne sait pas siffler, c’est lui »

Albert Riera a également regretté les sifflets envers Vital Nsimba, suite à ses propos tenus aux supporters lundi en conférence de presse. « S’il y a quelqu’un que vous ne pouvez pas siffler, c’est bien lui. Je le vois tous les jours. On connaît le joueur qu’il est, il nous a manqué lors de sa blessure. Nous connaissons le capitaine et la personne qu’il est sur le terrain et en dehors : lorsqu’il a été blessé, il m’a demandé de l’accompagner sur la route ; quand un joueur en a besoin, il est là tout le temps. Cela me fait mal. »

L’avenir : “il y a des choses à prévoir, c’est normal”

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

NEXT Résultats du repêchage de la LCF 2024 – Kevin Mital avec les Argonauts