Nommé entraîneur de l’OM cet été, Roberto De Zerbi réalise une très bonne première partie de saison. L’entraîneur italien est en train de mettre le Vélodrome dans sa poche, même s’il n’a pas que des amis. En effet, la presse italienne n’a pas été tendre avec lui par le passé, comme le rappelle Thierry Cros.
Roberto De Zerbi impose son empreinte plongeon et mettre d’accord les observateurs français. Prophète à l’étranger partout où il passe, l’ancien entraîneur de Brighton C’est beaucoup moins le cas dans son pays, l’Italie, où ses principes de jeu sont difficiles à comprendre.
La presse italienne n’est pas tendre avec De Zerbi
L’entraîneur de plongeon prône un football spectaculaire qui se heurte forcément à l’obsession italienne du résultat. De ce fait, outre son fort caractère, il s’est aliéné la presse de son pays. Ce dernier a notamment participé à la naissance de « l’anti De Zerbisme ».
“Il n’a pas été gâté par la presse italienne pour qui il était considéré comme malade”
« On a beaucoup parlé de son talent montant, il y avait des pro et des anti De Zerbi. Il n’a pas été gâté par la presse italienne, pour qui il semblait malade, obsessionnel au caractère bien trempé. L’anti ‘Zerbisme’ est né, alors qu’il a une superbe image, pose une vraie idée du football », a confié Thierry Cros dans les colonnes de Provence.