Le Monégasque Charles Leclerc au bout de son rêve de Formule 1 ?
Il a déjà réalisé trois de ses quatre rêves de pilote : courir en Formule 1 (2018), rejoindre la Scuderia Ferrari (2019) et remporter la victoire à domicile, sur la majuscule étape du Grand Prix de Monaco (2024).
A 27 ans, il lui reste encore un objectif à atteindre. Le plus haut : devenir champion du monde. Le Monégasque Charles Leclerc possède sans aucun doute les qualités de pilotage requises pour rejoindre les stars de la piste. Mais en face, il y aura toujours un Max Verstappen « galactique », une écurie McLaren surpuissante… Et dans le garage d’à côté, désormais, un certain Lewis Hamilton qui espère faire chavirer le cœur des fans en remportant une huitième couronne suprême. dans l’habitude du feu rouge.
Autant dire que le défi s’annonce une nouvelle fois ardu pour le petit prince Charles. Rendez-vous au dernier virage !
Manon Fiorot, championne de MMA niçoise : le monde est à ses pieds
Le rêve de sa vie est à sa portée. Quatre ans après ses débuts à l’UFC (1), Manon Fiorot se battra pour la ceinture en 2025. Où, quand ? Cela n’a pas encore été défini par l’organisation d’arts martiaux mixtes (MMA) la plus prestigieuse au monde. Mais seulement cinq rounds de 5 minutes maximum et Valentina Shevchenko, tenante du titre kirghize des poids mouches (-57kg), séparent la Niçoise de 34 ans de sa prédiction d’enfance : “Je veux être champion du monde”. Aucun Français n’a réussi à faire cela en 31 ans d’histoire de l’UFC. Invaincue en sept combats au sein de l’organisation, Manon a le pedigree et le pouvoir pour devenir une pionnière.
Dans le monde du MMA, elle est surnommée « La Bête ». L’héritage de Papa Daniel, un pompier émérite qui a également éteint ses adversaires sur les tapis de lutte. Héros inspirant, l’adjudant-chef décédé en 2016 est immortalisé sur une fresque de la caserne Fodéré. A Nice, Fiorot est un nom déjà gravé dans la roche. Manon a promis à son père de la mettre sur le toit du monde.
1. Championnat de combat ultime.
W.H.
Le footballeur Maghnes Akliouche, une pépite façonnée sur le Rocher
De l’or dans les pieds et une tête bien formée. Audacieux sur le terrain, Maghnes Akliouche est du genre timide en dehors. Son jeu et ses performances parlent pour lui : formé au centre de formation de l’AS Monaco, le joueur de 22 ans a remporté la médaille d’argent avec les Bleus lors du dernier tournoi olympique et vient de livrer une année 2024 assez impressionnante.
Auteur de 9 buts et 8 passes décisives sur l’année civile, il a fêté le retour du club en Ligue des Champions avec un but face au FC Barcelone en septembre et semble bâti pour envisager 2025. Responsable par son entraîneur Adi Hütter, il semble a déjà acquis les clés du haut niveau avec une capacité à défendre en plus de sa capacité à déstabiliser les adversaires. Son dernier match de l’année contre le Paris Saint-Germain (18 décembre) a encore rappelé à quel point son talent était grand. Le club princier vise le podium en Ligue 1 et le Top 24 en Ligue des Champions ? Akliouche doit l’aider à se glisser.
CONTRE
Elie Okobo vers les sommets
Elie Okobo, basketteur de l’AS Monaco, vers les sommets “Il n’y a aucune limite à son talent”a déclaré à son sujet son ancien entraîneur à Monaco, Sasa Obradovic. Seulement voilà, Elie Okobo ne faisait pas partie de l’aventure olympique Paris-2024 des Bleus, dernier joueur « coupé » après avoir participé à la préparation estivale du groupe France. « J’en ai profité pour aller à la plage et promener mon chien »» a-t-il déclaré en reprenant la saison avec l’ASM. Un épisode douloureux pour le génial arrière gaucher de la Roca Team qui pourrait prendre sa revanche en 2025. Le Bordelais de 27 ans, qui a joué pour les Phoenix Suns (NBA), a réalisé une première partie de match époustouflante. saison avec Monaco en Euroligue également. bon buteur (13,9 points) et créateur, avec plus de quatre passes décisives en moyenne. Son entente avec la mégastar du Rocher, Mike James, pourrait bien conduire l’ASM vers les sommets d’Europe. Jusqu’au titre suprême en Euroligue ? Pourquoi pas, c’est peut-être l’année de Monaco. Et même si le basket français ne manque pas de candidats à son poste de leader, on voit mal comment l’équipe de France pourrait cette fois ne pas faire appel à lui pour l’Euro-2025 (27 août-14 septembre, phase finale en Lettonie). Le nouvel entraîneur des Bleus, Frédéric Fauthoux, a été l’entraîneur adjoint d’Elie Okobo sous l’ère Villeurbanne (2021-2022). Les deux hommes s’apprécient, ce qui peut aussi compter dans les choix. Ils ont en commun d’avoir porté fièrement les couleurs de Pau-Orthez. « Okoboss » a déjà son surnom parmi les fans de la Roca Team. C’est désormais à lui de jouer les patrons.
FP