Comme si conquérir les salles de cinéma du monde entier avec « Gladiator II » ne lui suffisait pas, Paul Mescal vient d’être élu homme le mieux habillé de l’année par le magazine « GQ ». Après le cinéma, l’Irlandais s’attaque de plus en plus à la mode, mais en toute discrétion. Il n’est pas l’une des célébrités les plus présentes à la Fashion Week, ni celui qui provoque l’euphorie au MET Gala (auquel il a déjà été invité en 2022, et qu’il a décrit comme « la chose la plus extraterrestre ») mais il s’impose comme une inspiration mode avec son style quotidien unique qui allie confort, streetwear et… un mini-short.
Plus les shorts sont courts, plus Paul Mescal les aime. Qu’il y ait des rayons de soleil ou de pluie comme c’est souvent le cas au Royaume-Uni, l’Irlandais n’hésite jamais à dévoiler ses jambes musclées (pour cela, il peut remercier ses années de football gaélique) avec un short de sport. Pour le défilé Gucci en juin dernier, il n’a pas hésité à mettre ce style sur le devant de la scène, en associant l’élégance d’une chemise bleu ciel à un microshort rayé. Star d’une campagne de mocassins pour la marque italienne, il a fait sa première (et dernière) apparition à la Fashion Week.
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Icône de mode involontaire
Interrogé par « GQ » sur son amour pour les shorts courts, Paul Mescal s’est dit un « fervent défenseur » de ce style pour hommes. “Ils ne sont pas faits pour être à court de moi”, a-t-il ensuite expliqué au micro de la “BBC”. « Ils sont vraiment très pratiques pour l’entraînement et parfaits pour courir. »
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Sur les tapis rouges qu’il arpente à travers le monde, Paul Mescal laisse au placard les shorts et les baskets pour revisiter le costume classique – associé à des pulls polos usés ou de simples t-shirts, associé à une cravate en satin (non nouée) ou à des vestes atypiques, décoré d’immenses fleurs ou d’un bleu flashy. En tout cas, Paul Mescal n’a jamais voulu être une icône de mode, mais se contente du plus « confortable ». Et c’est sûrement cette nonchalance envers son style vestimentaire qui lui a valu le prix suprême de « GQ » cette année. Avant lui, Timothée Chalamet, Harry Styles et Tyler, The Creator avaient gagné.