«Je prends plus de plaisir à…

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«Je prends plus de plaisir à…

Le samedi 9 novembre 2024, Léa Salamé a proposé à ses fidèles téléspectateurs un nouvel épisode de Quelle époque !orchestré avec sa finesse habituelle. Et à la fin du spectacle, son acolyte Philippe Caverivière n’a pas manqué d’ajouter une touche d’humour aux récentes mésaventures de Raphaël Glucksmanncompagnon du journaliste. En octobre, Le Point révélait que l’eurodéputé, en emménageant dans l’appartement de son défunt père, André Glucksmanns’était lancé dans un ambitieux tri de la bibliothèque familiale. Seulement voilà : tout ne s’est pas passé comme prévu ! En tentant de déplacer l’imposant meuble, l’eurodéputé «endommagé le dos», victime d’un accident domestique inattendu qui lui a coûté quelques souffrances.

Léa Salamé: her companion does not escape criticism

Le cher et tendre de Léa Salamé arbore désormais un corset, résultat direct de ses récentes acrobaties en mouvement. Profitant de l’occasion pour taquiner le journaliste, Philippe Caverivière a déclaré, avec son humour piquant : «Je suis resté attentif à l’actualité et j’ai bien fait car il y avait un événement politique majeur ce qui a été rapporté dans un journal d’investigation, Gala, je crois.» Un commentaire qui a immédiatement provoqué l’amusement – ​​et un léger malaise – de la part du journaliste, qui s’est exclamé : «Oh non!» dans un éclat de rire.

Ne s’arrêtant pas là, le célèbre comédien a poursuivi sur un ton de dérision : «Votre colocataire, votre colocataire++, Raphaël Glucksmann, s’est blessé au dos en déménageant sa bibliothèque… on n’est pas loin d’une mort bien pourrie !» Une fouille qui a amusé le public et les invités, avant que Caverivière ne s’amuse à parodier un journal télévisé devant la caméra, ajoutant une touche décalée à sa chronique.

Léa Salamé reframes Philippe Caverivière

L’humoriste n’a pas manqué de se moquer de la mésaventure de Raphaël Glucksmann, imaginant l’eurodéputé enfoui sous sa montagne de livres, «notamment l’intégrale Arlequin« . Léa Salamé, un peu perplexe, lui dit alors : «Est-ce vraiment nécessaire ?», ce qui n’arrête pas son collègue. Il poursuit en décrivant avec ironie une bibliothèque remplie de «dicos, encyclopédies, livres de son père André et les Pléiades« . Puis, d’un air faussement accablé, il conclut : «La culture est lourde !

Pour compléter sa tirade, le natif de Beauvais
compare le geste de son ami à celui d’un intellectuel, en y ajoutant une touche de contraste. “Alors qu’un idiot comme moi, tu le bouges… Florent Peyremon ami, a mis un quart d’heure pour transporter deux Pif Gadgets, une Playstation, un cadre avec un maillot Jean-Pierre Papin dédicacés, et deux places carré d’or pour Les Forbans.« Un déménagement qui se fait rapidement, c’est sûr !

«J’aime les mélanges»

Some time ago, Léa Salamé joined Cyril Féraud pour remettre les Victoires de la , rendez-vous qu’elle a accepté sans hésiter. Son argument ? “Il n’y a pas beaucoup d’événements à la télévision qui rassemblent tout le monde.« Un retour aux sources télévisuelles pour la journaliste, mais qu’en est-il de son terrain de prédilection, les interviews politiques ? À l’approche des élections européennes, elle a pris une décision radicale : suspendre, au moins temporairement, les entretiens politiques.»Pour les Européens, j’arrête. Je le dis de manière simple car c’est totalement d’accord avec ma direction de 2 et de France Inter, comme mon compagnon [Raphaël Glucksmann] est candidat, Je vais me retirer des émissions politiques et un retrait progressif aura lieu à partir d’avril, jusqu’à la période de campagne officielle,» a-t-elle confié.

Mais cette pause ne reflète pas un manque d’intérêt pour la politique ; elle souhaite simplement de la diversité dans ses échanges. Interrogée à ce sujet, elle a été claire : «Oui, je suis toujours intéressé. C’est mon ADN, c’est ma passion. Mais de plus en plus, j’aime les mélanges. Je prends plus de plaisir en ce moment à interroger les artistes, leurs visions de l’époque, à interroger les grands intellectuels que sans doute les politiques.parce que le langage politique a changé, parce que le langage politique a été formaté, il est devenu de nombreux éléments de langage. Elle confie préférer ces échanges spontanés, loin du monde aseptisé du langage politique actuel.

En effet, selon celle qui a été surprise en train de flirter avec François Hollande, le discours politique a perdu son authenticité, emprisonné dans «éléments de langage» formaté. Nostalgique de l’époque où chaque interview était une aventure, elle regrette : «Quand j’ai commencé le journalisme politique, mon micro tremblait. Tu devais essayer d’être intelligenttrouver la bonne question, déstabiliser.“Mais aujourd’hui, tout semble.”plus réglé», et Léa Salamé déplore ce manque de spontanéité et «chaise» qui animait autrefois ses affrontements politiques.

 
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