Le basketteur Victor Wembanyama organise une « chasse au trésor » en avant ses deux matchs NBA à Paris

« Cinq villes, 5 QR Codes, 10 places », écrivait le joueur français sur ses réseaux sociaux, quelques jours avant la double confrontation entre les San Antonio Spurs et les Indiana Pacers délocalisée à Bercy.

Publié le 19/01/2025 15:29

Mis à jour le 19/01/2025 15:51

Temps de lecture : 1min

-
Victor Wembanyama participe à un match des San Antonio Spurs contre les Chicago Bulls le 6 janvier 2025, à Chicago (Illinois). (MICHAEL REAVES / GETTY IMAGES AMÉRIQUE DU NORD / AFP)

« La chasse au trésor peut commencer. » La star française de la NBA, Victor Wembanyama, a mis en ligne dimanche 19 janvier des codes de géolocalisation menant à cinq murs d’affichage situés à Paris, Marseille, Bordeaux, Lyon et Lille. « Cinq villes, 5 QR Codes, 10 lieux »a expliqué l’international français de 21 ans sur Instagram, dans un message accompagné d’une vidéo montrant une affiche « Wemby vous invite à ses 2 matchs à Paris ».

Surnommé « l’extraterrestre », le basketteur est attendu à Paris dans les prochains jours pour disputer deux matches du championnat nord-américain. Son équipe des San Antonio Spurs affrontera les Indiana Pacers jeudi 23 et samedi 25 janvier à Bercy, où le géant de 2,21 m a remporté l’argent olympique avec les Blues l’été dernier.

Les premiers arrivés sur le site de la chasse au trésor ont été désillusionnés lorsqu’ils ont découvert que le QR code affiché ne les menait qu’à un tirage au sort pour gagner des places pour l’une des deux rencontres. A Bordeaux, “les QR codes ont été graffés (…) et ne sont plus utilisables”un autre internaute s’est indigné, tandis que des habitants d’autres communes ont regretté d’être exclus de l’opération, comme à Toulouse ou, ici, à Strasbourg, où l’on ne perd pas pour autant le sens de l’humour.

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

-

PREV « Le drame d’Emmanuel Macron, c’est qu’il a cru pouvoir gouverner contre les Français »
NEXT Emmanuel Macron veut le rétablissement de la « gouvernance palestinienne à Gaza »