En Syrie, l’appel du monastère de Mar Moussa : « Nous devons participer à la construction de ce pays »

Publié le 20 décembre 2024 à 07h57. / Modifié le 20 décembre 2024 à 08h00.

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C’est un refuge niché dans un repli de la croûte terrestre. Pour y arriver, il faut garer sa voiture après avoir parcouru de longs kilomètres dans le désert syrien. Puis nous montons des marches creusées dans la roche pendant une vingtaine de minutes. Une fois arrivé là-haut, il faut s’incliner pour franchir la petite porte du monastère Saint-Moïse-l’Abyssin, Deir Mar Moussa al-Habachi, l’un des plus anciens de Syrie.

En fin de journée, les moines et moniales – Mar Moussa est un rare monastère mixte – de cette petite communauté syriaque catholique sont en séance de méditation. Vêtus de longues tuniques blanches, ils s’appuient contre un mur de la petite basilique de Mar Moussa, construite en 1051 sur les ruines d’une fortification romaine. Des inscriptions en arabe, syriaque et grec, à connotation musulmane et chrétienne, recouvrent les murs. Ce sont parmi les fresques les plus anciennes de l’Orient chrétien.

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