La femme victime d’un homicide au Québec lié à d’autres criminels

La femme victime d’un homicide au Québec lié à d’autres criminels
La femme victime d’un homicide au Québec lié à d’autres criminels

La femme retrouvée sans vie dans un appartement de Charlesbourg lundi a déjà été arrêtée dans le cadre du démantèlement d’un important réseau de drogue, au Québec, en 2021. Un homme arrêté dans le cadre de cette même opération a également plaidé coupable d’homicide involontaire, selon quelques quelques heures après la macabre découverte.

Jennifer Morin, 45 ans, a été retrouvée sans vie lundi à son domicile de Charlesbourg. Le Service de police de la ville de Québec (SPVQ) a des raisons de croire qu’elle a été victime d’un homicide.

À l’heure où nous écrivons ces lignes, personne n’a été arrêté dans cette affaire.

Lundi matin vers 9 heures, les ambulanciers et les policiers ont été appelés pour intervenir dans une habitation du boulevard Louis-XIV. Le corps de la femme aurait été découvert sur les lieux et le coroner aurait ordonné une enquête.

Le SPVQ cherche à recueillir des informations à ce sujet. Un poste de commandement mobile a été déplacé à l’intersection des rues Astrid et Édith, à Charlesbourg.

Photo: - / Colin Côté-Paulette

Le SPVQ ne précise pas comment Jennifer Morin a été tuée. Les enquêteurs ainsi que les techniciens de l’Unité d’identité judiciaire se sont rendus sur les lieux pour faire la lumière sur ce décès.dit-elle.

Liens avec Cédric Duchaine

La victime a été arrêtée le 15 décembre 2021 avec huit autres personnes, dont Cédric Duchaine.

L’homme de 28 ans, qui dirigeait son réseau de trafiquants de drogue, a reconnu mardi sa participation au meurtre de Michel Petit commis à la pyramide de Sainte-Foy en octobre 2021. Duchaine a plaidé coupable à une accusation d’homicide involontaire. Il était détenu depuis son arrestation.

Selon nos informations, le fils de Jennifer Morin, Jeffrey Morin, a également été arrêté le 15 décembre 2021. Il a été reconnu coupable de trafic de drogue et a écopé d’une peine de 1 200 jours de prison.

Jennifer Morin n’a jamais été reconnue coupable.

Avec la collaboration de Marie-Ève ​​Trudel et Yannick Bergeron

 
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