“Nous devons garantir que la Syrie reçoive une aide humanitaire plus immédiate pour la population et pour tous les réfugiés qui souhaitent rentrer”, a déclaré Pedersen, dont la visite est la première d’un haut responsable, à l’ONU depuis la fuite d’Assad vers la Russie.
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Après Washington samedi, le Royaume-Uni, par la voix de son chef de la diplomatie David Lammy, a annoncé dimanche avoir établi des “contacts diplomatiques” avec HTS, classée organisation par Londres.
De son côté, la France a annoncé mardi l’envoi d’une mission diplomatique à Damas, la première depuis 12 ans, pour “établir de premiers contacts” avec les nouvelles autorités.
Doha a annoncé mardi la réouverture de son ambassade en Syrie après l’arrivée dimanche d’une délégation qatarie dans le pays où elle a rencontré les nouvelles autorités.
Samedi, la Turquie avait déjà rouvert son ambassade à Damas après plus de 12 ans de fermeture.
Le président ukrainien Volodymyr Zelenskyj a pour sa part annoncé son intention de fournir à la Syrie du blé et d’autres produits agricoles à titre humanitaire.
Après 50 ans de règne incontesté du clan Assad et de répression implacable, les nouvelles autorités s’efforcent de rassurer la communauté internationale.
