Ébranlé après les polémiques de la campagne et la défaite aux élections, où en est Défi ? « Le parti n’est pas mort, il faut se relever, avec une équipe de jeunes aux commandes, et une élection interne vite, début juillet. » Qui pour présider le parti dirigé ces dernières années par François De Smet, démissionnaire, avant lui par Olivier Maingain ? Beaucoup citée d’un côté ou de l’autre : Sophie Rohonyi.
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Journaliste au centre Powers
Par David CoppiPublié le 14/06/2024 à 14h20
Temps de lecture : 3 minutes
SSur les raisons de la défaite (Défi obtient 8,1% des voix et six sièges à Bruxelles, 2,7% en Wallonie, un siège à la Chambre, pour François De Smet), ils ne sont pas tous d’accord, disons même si ça heurte. Par contre, oh (début de) miracle !, ils convergent pas mal pour la suite, l’avenir du parti. Une enquête au sein de la formation Amarante le révèle : les polémiques semblent s’estomper, au moins un peu, qui lui ont été si préjudiciables, à commencer par celle-là (autour de la préparation des listes et du rôle du chef de cabinet du président, nous l’ont abondamment rapporté) qui a vu un rude affrontement entre François De Smet à la défense, président démissionnaire, élu par les affiliés en décembre 2019, réélu en décembre 2022, et Olivier Maingain à l’attaque, président historique du FDF, Front des francophones , qu’il rebaptise Défi, pour Démocrate fédéraliste indépendant, en novembre 2015.
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