Il reçoit une montre défectueuse – la boutique en ligne ne répond plus

Il reçoit une montre défectueuse – la boutique en ligne ne répond plus
Il reçoit une montre défectueuse – la boutique en ligne ne répond plus

Un Zurichois a acheté une montre connectée avec une garantie de deux ans auprès de la société allemande Stahlgear. Mais peu de temps après, la montre s’est cassée et l’entreprise a refusé de la remplacer.

Un Zurichois achète en ligne une montre connectée à la société allemande Stahlgear pour mesurer sa fréquence cardiaque. Cependant, cela s’est rapidement rompu. (image symbolique)

Image :
Franziska Gabbert/dpa-tmn

Un Zurichois achète en ligne une montre connectée à la société allemande Stahlgear afin de mesurer sa fréquence cardiaque. En ligne, la société propose la montre avec une garantie de deux ans. Et la batterie est censée tenir dix jours.

Mais la batterie ne dure bientôt plus que deux heures, puis la smartwatch ne fonctionne plus du tout. L’homme de 59 ans suppose qu’il recevra un produit de remplacement grâce à la garantie.

Indemnité « de consolation »

Il s’est réjoui trop tôt. L’entreprise tente de consoler le client en lui proposant une compensation. Ils lui ont d’abord proposé un remboursement de 10 % du prix d’achat, puis, après qu’il se soit plaint à plusieurs reprises, l’entreprise a progressivement augmenté son offre à 20 %, puis à 30 %.

Si le client n’était pas d’accord, il pouvait renvoyer la montre en Chine à ses frais. Il n’est pas question de remplacement complet ou de remboursement du montant. Le Zurichois a déclaré à SRF: «Je me sens trompé.» Selon lui, le style de communication de Stahlgear est particulièrement ennuyeux. L’entreprise n’a pas répondu à sa demande de produit de remplacement.

Interrogée par le SRF, l’entreprise a répondu par des emails standards. Elle ne répond pas aux plaintes et demande plutôt un numéro de commande.

Il s’agit probablement de « dropshipping »

Selon la Protection des Consommateurs (SKS), il pourrait s’agir d’un cas de « dropshipping ». Les consommateurs commandent un article via une boutique en ligne et la marchandise est envoyée directement par le fournisseur. Ces derniers sont généralement situés en Chine, ce qui évite aux exploitants de magasins d’avoir à payer pour le stock de marchandises.

Les consommateurs reçoivent ainsi des biens bon marché. Sara Stalder, directrice du SKS, met en garde contre le retour d’articles en Chine : « Les marchandises n’y sont même pas récupérées, nous ne recevons pas de produit de remplacement. »

Pour éviter de tomber dans le piège de fournisseurs peu sérieux, il est recommandé de consulter attentivement le site Internet avant de passer commande. Les magasins sérieux disposent généralement de mentions légales complètes.

Cela vaut également la peine de rechercher les avis des clients. De plus, les sociétés de dropshipping font souvent de la publicité à grande échelle sur les réseaux sociaux. Il est également recommandé de lire les avis des fournisseurs sur Internet.


 
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