Bart De Wever est attendu par le roi Philippe ce lundi à 11h30 pour un compte rendu de sa mission de formation. Ces derniers jours, il y a un blocage total dans les négociations fédérales. Le président de la N-VA a publié dimanche une nouvelle « supernote » pour tenter de ramener le Vooruit à bord. Devons-nous négocier ? Ou est-ce la crise ?
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Publié le 11/03/2024 à 18h55
Temps de lecture : 1 min
Bart De Wever est attendu par le Roi ce lundi pour une onzième visite au Palais, près de 150 jours après les élections. Dimanche, les deux scénarios étaient dans l’air : il continue, il abandonne.
En tout cas, le président de la N-VA arrivera les mains à moitié vides chez le Roi lundi. L’hypothèse d’une démission ne peut être exclue. Quel signal le Palais voudrait-il donner ensuite dans cette affaire ? La nomination d’une personnalité du « centre » comme médiateur (Sammy Mahdi, Maxime Prévot, etc.) ? Ou donner un coup de main à ceux qui ont parfois ralenti ou bloqué les négociations, Conner Rousseau ou Georges-Louis Bouchez ? Pure fiction à ce stade. En attendant, Bart De Wever est entraîneur, et tente de dénouer les nœuds. La rencontre avec le Roi est fixée à 11h30
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