“La fin d’un canular”, juge Prisca Thevenot sur TF1

“La fin d’un canular”, juge Prisca Thevenot sur TF1
“La fin d’un canular”, juge Prisca Thevenot sur TF1

Prisca Thévenot était l’invitée de l’émission « Bonjour ! La Matinale TF1″ ce vendredi.

The Ensemble pour la République des Hauts-de-Seine MP notably returned to pension reform and the Universal National Service.

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La bataille des retraites

“La fin d’un canular”c’est ainsi que Prisca Thevenot, invitée d’Adrien Gindre dans « Bonjour ! La matinale de TF1», a décrit la proposition du Rassemblement national, lors d’une niche parlementaire à l’Assemblée nationale, d’abroger la réforme des retraites. Le texte a en effet été rejeté et le groupe d’extrême droite est revenu “aux prochaines élections”.

« Je ne sais pas si nous devons vivre cela comme une victoire mais plutôt comme la fin d’un canular. Le Rassemblement National savait très bien qu’en proposant cette abrogation de la réforme des retraites, il ne ferait qu’une sorte de spectacle un peu triste car il savait que cela ne passerait pas politiquement, car il n’arrivait pas à avoir une majorité de députés à soutenir. cette abrogation et cela ne passerait pas financièrement.insisted the Ensemble pour la République des Hauts-de-Seine MP, this Friday, November 1.

« Ce n’est pas grave. Il manque de compétence »

Interrogée si, suite à cet échec, tous les députés RN étaient devenus des parias, Prisca Thévenot a estimé qu’il ne fallait pas voir « tout blanc ou noir ». « Mais regardez les faits ! Je pourrais vous expliquer longuement et en arrière pourquoi je ne suis d’accord avec rien dans les propositions du Rassemblement national et pourquoi je lutterai toujours contre l’extrême droite. Maintenant, quand on regarde le fond, ils nous donnent raison. »a-t-elle estimé sur notre antenne.

« Sur l’abrogation de la réforme des retraites, nous leur avons dit qu’il ne s’agissait pas simplement de mettre un titre sur une page blanche mais de travailler sur le fond. Vous voulez l’abrogation de la réforme des retraites, vous reconnaissez qu’il y a un problème de financement. Que font-ils ? Ils écrivent la loi mais ils ne nous expliquent pas comment ils vont la financer. Ce n’est pas grave. et surtout beaucoup d’honnêteté !, a en outre dénoncé le député.

«Je veux la généralisation du SNU»

Concernant la suppression du Service National Universel (SNU) au Parlement, initiée par Emmanuel Macron, Maud Bregeon, porte-parole du gouvernement, a précisé que le gouvernement ne souhaitait pas supprimer ce service mais a reconnu que la situation financière, telle qu’elle est aujourd’hui, ne le permettait pas. permettre une généralisation, prévue pour 2026. Interrogée sur les propos de son prédécesseur, Prisca Thevenot a estimé qu’on ne pouvait pas “ne pas avoir d’entre-deux”.Soit on va vers la généralisation, soit on arrête. Et je le dis très clairement.elle a insisté.

« Aujourd’hui, nous avons un constat : nous avons une partie de la jeunesse, sinon la totalité de la jeunesse, qui aujourd’hui n’arrive plus à se rassembler, n’arrive plus à créer de la cohésion. Et nous avons aussi ce défi de porter une dimension nationale pour les générations à venir »dit-elle.

Le député estime-t-il donc qu’il faut arrêter immédiatement le SNU ? “Non”, elle a répondu. “Je vous dis qu’il y a des endroits où il faut épargner, et d’autres où il faut investir, dit-elle avant d’annoncer qu’elle “souhaité” la généralisation du SNU.


COMME

 
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