Après le 1er mai, Raphaël Glucksmann maintient ses propos contre LFI et l’accuse de « brutaliser le débat »

Après le 1er mai, Raphaël Glucksmann maintient ses propos contre LFI et l’accuse de « brutaliser le débat »
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Capture d’écran Invité de l’émission C à Vous sur 5, Raphaël Glucksmann estime que la France insoumise est responsable d’une campagne de calomnie contre sa campagne pour les élections européennes.

Capture d’écran

Invité de l’émission C à Vous sur France 5, Raphaël Glucksmann estime que la France insoumise est responsable d’une campagne de calomnie contre sa campagne pour les élections européennes.

POLITIQUE – « Je suis agressé par des militants radicaux et violents, par la jeunesse communiste et par la France insoumise, et ce serait moi qui devrais m’excuser ? Je ne m’excuserai pas. » Raphaël Glucksmann s’est montré ferme ce jeudi 2 mai sur le plateau de C à toiau lendemain de son exfiltration du défilé du 1er-Mai à Saint-Étienne.

Invitée sur France 5 à revenir sur cette séquence et sur les propos du leader insoumis Jean-Luc Mélenchon, la tête de liste PS-Place Publique aux élections européennes a refusé de s’excuser auprès de la France insoumise. La veille, Raphaël Glucksmann avait en effet accusé LFI d’être responsable de l’action qui l’avait empêché de défiler, notamment en étant visé par des jets d’œufs et de peinture.

Ses propos ont particulièrement offusqué Jean-Luc Mélenchon, qui a demandé dans un tweet à Raphaël Glucksmann de s’excuser pour ses accusations infondées, selon lui.

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Je ne m’excuserai pas et je veux dire à ces gens qui brutalisent le débat public qu’ils ne nous impressionnent pas. Et que toute notre campagne est conçue comme un antidote à cette brutalisation permanente du débat »a répondu le député européen.

Raphaël Glucksmann va encore plus loin et estime que c’est à cause du « dynamique » de sa campagne que « ces groupes extrémistes qui se sentent de plus en plus marginalisés, y compris à gauche, ont attaqué” à lui. Le candidat accuse alors Jean-Luc Mélenchon et «les milieux insoumis» être responsable d’un “Campagne de calomnie contre” la liste PS-Place Publique.

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Il utilise également des mots forts, évoquant une campagne de calomnie « violent, trompeur » contre sa propre personne, ses positions ou ses votes au Parlement européen. Des attaques à répétition, qui sont, selon lui, responsables des incidents observés à Saint-Étienne pour cette fête des travailleurs.

« À un moment donné, il faut dire stop »

Interrogé ensuite sur les raisons de ces agressions, Raphaël Glucksmann estime qu’il les doit au fait d’être « devant » dans les sondages. ” Il (Jean-Luc Mélenchon) avait le sentiment de posséder la gauche », dit encore le candidat.

La tête de liste du Parti socialiste rappelle également qu’il a toujours refusé de mettre en avant « des milliers d’insultes antisémites » reçu ces derniers mois suite à une question du journaliste Patrick Cohen concernant ces attentats.

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Sauf hier “, le 1er mai, ” parce qu’à un moment donné il faut dire stop », a souligné Raphaël Glucksmann. “La société française est déjà suffisamment tendue pour que des gens qui n’ont ni limites ni principes arrêtent de jouer avec des allumettes dans une station-service », a-t-il ajouté, appelant à un retour du débat républicain, « même très radical », pour peu que certaines limites ne soient pas franchies. Savoir : ” mensonges, fausses nouvelles et appels à la haine « .

Mercredi 1er mai, l’action menée contre Raphaël Glucksmann, visé par une cinquantaine de manifestants, a été revendiquée par au moins un militant insoumis – s’exprimant sur LCI – et par un groupe de jeunes communistes locaux. Le candidat européen s’est alors permis de répondre au tweet de Jean-Luc Mélenchon en soulignant que son « propres militants » contredit sa version.

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