Pourquoi la réponse israélienne à l’Iran était « un test » pour les États-Unis

Meilleur allié d’Israël, Washington ne cesse d’appeler le Premier ministre Benyamin Netanyahou à la retenue depuis l’attaque iranienne dans le ciel de l’Etat hébreu.


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Responsable du pôle International

Par Pauline Hofmann

Publié le 19/04/2024 à 20h27
Temps de lecture : 1 min

LLes États-Unis n’ont été impliqués dans aucune opération offensive », a insisté le secrétaire d’État américain Antony Blinken. Ce vendredi après une attaque de drone attribuée à l’Etat hébreu, le ministre italien des Affaires étrangères Antonio Tajani a enfoncé le clou en direct du G7 : « Les Etats-Unis ont été informés à la dernière minute (de l’attaque d’Ispahan, NDLR.) mais il n’y a eu aucune implication de la part des États-Unis. Seules des ont été données. » Le message est passé : rien ne sera de la faute de Washington.

Depuis l’attaque iranienne dans le ciel de l’État juif samedi dernier jusqu’à la prétendue réponse israélienne six jours plus tard, les États-Unis ont tenté de raisonner Israël. Et de prendre nos distances avec cet affrontement direct entre les deux grands ennemis du Moyen-Orient.



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