« Nous ferons regretter à nos ennemis le moindre dommage causé à l’Iran », déclare Ebrahim Raïssi

« Nous ferons regretter à nos ennemis le moindre dommage causé à l’Iran », déclare Ebrahim Raïssi
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Le président iranien Ebrahim Raisi a abordé l’attaque iranienne contre Israël, déclarant dans son discours à l’occasion de la « Journée nationale de l’armée iranienne » que l’Iran voulait que « l’opération soit une punition pour l’ennemi », indiquant qu’ils avaient « attaqué des centres qui ont contribué à attaquer nos intérêts ». ».

Raisi a une fois de plus menacé Israël : « Ils doivent savoir que même les plus petits dommages causés à l’Iran recevront une réponse ferme. Nos ennemis savent que le coup qu’ils recevront le fera regretter.

“Je dis aux pays de la région que notre force est une force de maintien de la sécurité et de la stabilité, il n’est pas nécessaire d’avoir des forces étrangères dans la région du Golfe”, a-t-il également déclaré, menaçant à peine voilée la “coalition internationale” qui pourrait émerger.

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Benjamin Netanyahu au téléphone après l’attaque iranienne, le 14 avril 2014Objet de stratégie de groupe

De son côté, Israël a « décidé des modalités de sa réponse », selon certaines sources. Les autorités israéliennes attendent désormais le « bon moment » pour agir et ne feront rien dans la précipitation, comme initialement annoncé. Cette décision intervient dans un contexte de vives dissensions au sein de l’exécutif sur le calendrier et la nature de la réponse à apporter. Alors que certains ministres préconisaient d’attendre un consensus international, d’autres appelaient à une réaction immédiate. « Il y aura une réponse qui sera, pour ainsi dire, élégante. C’est-à-dire que ça fera mal sans déboucher sur une guerre généralisée », explique Raphaël Jerusalmy.

 
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