Le constructeur américain, qui a vu ses ventes s’essouffler en début d’année, va devoir lâcher 10% de ses effectifs, soit 14.000 personnes. Un remède cheval imposé par la mauvaise forme de Tesla sur un marché de la voiture électrique qui lui-même n’est pas au meilleur de sa forme.
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Journaliste au pôle Planète
Par Benoît JuilletPublié le 15/04/2024 à 18h53
Temps de lecture : 4 min
AAdoubé parmi les « Magnificent Seven », ou ces sept entreprises technologiques qui font briller les yeux des investisseurs de Wall Street, Tesla pourrait bientôt tomber de son piédestal. Car, si les autres membres de ce club très sélect et en pleine croissance sont clairement étiquetés technologie de pointecomme Alphabet (Google), Amazon, Apple, Meta, Microsoft et Nvidia, l’entreprise chère à Elon Musk est désormais dépassée par ce qu’elle est quand même fondamentalement : un constructeur automobile, soumis comme tel aux aléas d’un secteur plus traditionnel. .
Dans ce cas, ce sont bien les tourments du marché automobile, notamment électrique, qui justifient la prochaine réduction drastique des effectifs annoncée, par mail, par Elon Musk à ses salariés : pas moins de 14 000 suppressions d’emplois. emplois, soit environ 10 % de l’effectif mondial de cette entreprise qui produit désormais ses véhicules, aussi bien aux Etats-Unis, en Chine qu’en Europe (en Allemagne).
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