Publié le 3 avril 2024 à 06h59. / Modifié le 3 avril 2024 à 07h00.
Le téléphone suisse a crépité dans la nuit de lundi à mardi. Quelques heures plus tôt, des frappes israéliennes présumées avaient détruit le consulat iranien à Damas, la capitale syrienne. Treize personnes ont été tuées, selon la télévision d’État iranienne, dont plusieurs commandants des Gardiens de la révolution, la branche armée étrangère du régime iranien. Depuis la révolution islamique et la rupture des relations entre l’Iran et les Etats-Unis, la diplomatie suisse représente les intérêts de Washington à Téhéran.
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