Depuis 13 ans, le banc de Jean Jaurès n’a pas été retrouvé dans ce village d’Aveyron

Depuis 13 ans, le banc de Jean Jaurès n’a pas été retrouvé dans ce village d’Aveyron
Depuis 13 ans, le banc de Jean Jaurès n’a pas été retrouvé dans ce village d’Aveyron

l’essentiel
L’histoire inhabituelle du banc de chêne massif blanc qui a disparu à Najac pendant le travail.

Même enveloppé dans une certaine torpeur d’hiver, Najac parvient toujours à se souvenir des bons souvenirs de ses contemporains. Comment pouvons-nous oublier l’épisode des couvertures de trou d’homme d’origine libyenne, repérée par un touriste de Benghazi, et installée dans la commune d’Aveyron plutôt que dans la deuxième ville de la Libye. Ce qui a créé un buzz au cours de l’hiver 2010, après la chaîne d’information continue « 24», informée par la personne concernée, a découvert le pot aux roses.

L’année suivante, d’autres questions ont tourmenté les habitants de Najac. Depuis des siècles sous le couvert de la maison Dufac (acquise pour abriter la maison de services de la communauté des communes qui abrite aujourd’hui la conciergerie), un banc de chêne massif. Fort et tire définitivement son poids. Dans la ville médiévale, il est dit que de nouveau – du moins lors de chacune de ses visites de festing dans le village – le grand Jaurès, alors le député socialiste de Carmaux La Rouge, y a placé ses célèbres fesses, avant de se jeter dans les joutes tonitruantes Cela l’a rendu célèbre.

L’histoire explique que la Tribune socialiste, ayant toujours eu une faiblesse pour Najac Ham, aimait rencontrer des amis, quelques tables du village, pas si loin de ses bases de tarn. Il était le grand voyageur qui avait fait du rail ses moyens de transport préférés.

Il n’était pas le seul à apprécier le confort spartiate du célèbre banc. Après lui, en tant que résident informé de la NAJAC, confié au moment de l’affaire qui a provoqué un agitation, «l’ancien maire Jean Larrousinie a eu ses habitudes là-bas».

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Une enquête

Mais maintenant, pendant les travaux sur ce qui allait devenir les prémisses administratives de la communauté des communes de Najacois, ce banc ancré dans l’histoire a disparu. Les informations ont ensuite pris feu comme des incendies de forêt. Et cela n’a amusé personne. Les élus se demandaient. Les gestionnaires des entreprises qui ont également travaillé sur la maison Dufac. D’autant plus que, il semble que son taille et son poids, il a fallu bien plus qu’un 2 CV pour le transporter!

L’enquête pour essayer de démêler cette énigme inextricable a été bel et bien ouverte. Les rumeurs, y compris les plus extravagantes, comme c’est souvent le cas avec ce type de situation, se propage…

Treize ans plus tard, presque jusqu’à la journée, certains se demandent toujours. Assez pour rassembler les Bloodhounds rapidement pour exhumer ce cas froid des profondeurs des souvenirs.

 
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