La peine, qui est apparue à la fin de l’après-midi du samedi 25 janvier sur Franceinfo, a soulevé une vague d’indignation sur les réseaux sociaux. «200 otages palestiniens trouvent la liberté»Pourrions-nous lire en grandes lettres blanches, comme sujet d’un sujet sur la libération de prisonniers palestiniens détenus en Israël, dans le cadre de l’accord de cessez-le-feu entre l’État hébreu et le Hamas.
La députée Caroline Yadan est ainsi allée à la niche sur X: «Cette bannière de Franceinfo n’est pas seulement indécente, mais c’est une insulte à ce qui fait notre humanité. Abject et inacceptable. »» La renaissance élue du 8e district des Français établie à l’extérieur de la France a annoncé sa saisie Arom – le gendarme audiovisuel audiovisuel français – et entend “Qu’une sanction exemplaire est prononcée”.
La continuation après cette publicité
La continuation après cette publicité
«C’est vraiment dommageFranceinfo… Je ne pense plus que je suis en France… une chaîne publique ou la chaîne du Hamas et Hain d’Israël… »Également épinglé, sur X, l’avocat Arno Klarsfeld.
La journaliste Éric Revel a également dénoncé un « honte monstrueuse ” de Franceinfo.
La continuation après cette publicité
-La continuation après cette publicité
La chaîne de télévision a réagi, samedi soir, à cette affaire. Sur X, Franceinfo s’est excusé auprès des téléspectateurs et clarifié: ” A La poursuite d’une erreur inadmissible, un titre complètement inapproprié concernant la situation au Moyen-Orient a été brièvement distribué dans l’un de nos journaux sur le canal de Franceinfo 27. Le manager a été suspendu ».
Pour rappel, la première phase de l’accord de cessez-le-feu entre l’État hébreu et le Hamas qui est entré en vigueur le 19 janvier prévoit la libération de 1 900 prisonniers palestiniens détenus en Israël, et la libération de 33 otages capturés par le terroriste palestinien Mouvement lors de son attaque mortelle le 7 octobre 2023. Au cours de cette première phase de l’accord, il faut négocier les termes de la seconde, qui doit permettre la libération des derniers otages, avant la dernière étape relative à la reconstruction de Gaza et de la restitution des corps des otages qui sont morts en captivité.
Comme rappelé Le parisienParmi les 200 prisonniers libérés, tous sont des hommes adultes présentés par la Pénitencier Autorité en tant que terroristes. 199 sont des Palestiniens et un est jordanien, selon le club des prisonniers palestiniens, ONG pour la défense des Palestiniens détenus par Israël. 121 de ces détenus ont été condamnés à la réclusion à perpétuité, selon la même source. Il s’agit, selon les données de l’administration de la prison israélienne, les gens ont condamné à avoir commis ou participé à des attaques ou des attaques anti-israéliennes, principalement au cours de la deuxième Intifada de 2000-2005.
Un titre approuvé par LFI
Ce contexte n’a pas découragé le député de la France rebelle (LFI) Ersilia soudainement pour soutenir la pertinence du titre initial de Franceinfo, faisant référence à «200 otages palestiniens». Le fonctionnaire élu a ainsi critiqué la chaîne de la fonction publique de “Compte tenu de la pression de (Caroline) Yadan” ET d’ «Empêcher de (ses) journalistes de faire leur travail»…
Son collègue européenne Rima Hassan, dans la même veine, a remercié la tête du titre derrière le scandale.