Ericka Bareigts, “Nous ne pouvons pas être le réceptacle de toutes les difficultés de Mayotte”

Ericka Bareigts, “Nous ne pouvons pas être le réceptacle de toutes les difficultés de Mayotte”
Ericka Bareigts, “Nous ne pouvons pas être le réceptacle de toutes les difficultés de Mayotte”

Le maire de Saint-denis, Ericrica Bareigts, était l’invité de la JT de 19 h lors de la réunion d’antenne ce jeudi 23 janvier. Elle est retournée à plusieurs sujets: violence urbaine, transfert de prisonniers de Mayotte à la réunion, etc.

– Sur la question des transferts des prisonniers du Mahorais à la réunion?

«Nous ne pouvons pas dire que nous avons plus de place là-bas et que nous envoyons tout le surplus à la réunion lorsque nous sommes déjà surpeuplés. Nous devons également parler de la réintégration. Nous avons déjà des problèmes avec la réintégration des détenus des retrouvailles, nous ne sommes pas préparés et ce n’est pas notre fonction, de réintégrer les prisonniers du bassin de l’océan Indien. Prison de 400 à séduction qui a pris plus de deux ans de retard. Il n’est pas sérieux de dire que nous n’avons pas de place, vous devez donc envoyer à la réunion.

-Ne avons-nous des chiffres et des données sur les crimes et les crimes commis par d’anciens prisonniers de Mayotte?

«Non, mais ce que nous savons, c’est que les anciens prisonniers de Mayotte sont généralement sur la réintégration des prisonniers en , la réintégration est absolument mal faite. Nous avons des phénomènes de trafic de drogue en France et à l’étranger et ces systèmes de mafia ne sont pas des éléments qui promouvront des criminels anciens qui ont été emprisonnés demain. “

– Les parlementaires exigent un choc souverain quant à la sécurité de l’étranger et évoquent des actes de violence accrue. Il y a eu des violences à Saint-denis et des arrestations, qu’est-ce que le maire?

«Il est très difficile pour les gens de comprendre. Le maire il est là pour assurer la sécurité de personnes comme la sécurité publique, puis il doit travailler avec l’État, la police nationale a fonction d’intervenir pour la violence urbaine. Ensuite, il y a justice qui est là pour punir. Nous avons un centre de surveillance de 24 heures et passons la police nationale le soir par exemple. Nous avons pu arrêter de nombreuses personnes ces derniers temps, car nous avons des images et des preuves.

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– La solution implique également l’insertion. Y a-t-il des mesures spécifiques qui sont mises en place dans Saint-Denis?

«Nous faisons la prévention de ce qui est très important. Réintégration nous travaillons et nous avons travaillé avec la prison pour organiser le meilleur possible avec un travail d’intérêt commun, avec des programmes d’intégration, mais ce n’est pas si simple. France, vous devez avoir les moyens d’y travailler. “

-D au niveau de l’éducation, le préfet écrit aux parents des auteurs de violence urbaine, que pensez-vous de cette initiative ?

«C’est une bonne initiative, tout doit être pris. Moi ce que je dis aujourd’hui, il y a un sujet majeur en retrouvailles, c’est le sujet des mineurs isolés. Aujourd’hui, je crois que nous mettons en danger l’espace public et la réunion, car il y a des mineurs sans protection.

France

 
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