Car oui, malgré l’annonce de son premier bénéfice net fin 2024, Telegram fait face à une dette de 2 milliards de dollars. Cette situation pourrait donc expliquer la volonté de Pavel Durov d’assainir l’image de sa plateforme, les activités illicites étant selon lui » mauvais pour la société et les affaires », difficile de lui donner tort.
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