« Flamme vive, mon seul espoir » ! Ces paroles du chœur de l’hymne jubilaire ont été les premières entendues dimanche 29 décembre à l’église Sainte Ségolène pour l’ouverture du jubilé de l’espérance. Monseigneur Ballot, qui présidait la célébration, a invité la centaine de pèlerins présents à la louange avec cette invocation : « Béni soit le Père : en envoyant sa Parole, il en a fait un signe d’espérance et un sacrement pour la rédemption de l’humanité« . Quelques jours avant la fête de la Nativité, ce rite se déroulait autour d’une croix de 3 mètres de haut, au cours duquel étaient proclamés des extraits de la bulle d’indiction du jubilé (signée par le pape François), avant que les pèlerins ne défilent vers la cathédrale.
Le cortège a parcouru les rues de Metz, accompagné des chants du maître de la cathédrale.
En arrivant à la cathédrale Saint-Etienne, c’est depuis l’arrière de l’édifice que l’évêque a invité l’assemblée à vénérer la croix, qui traversait la nef où de nombreux fidèles avaient déjà pris place. Et pour conclure ces rites autour de l’ouverture du jubilé, Monseigneur Ballot a traversé la cathédrale pour asperger les fidèles.
En ce jour de fête de la Sainte Famille, la messe s’est poursuivie par la liturgie de la Parole. Au cours de son homélie, Mgr Ballot, qui a rappelé l’importance du titre du jubilé (« L’espérance ne déçoit pas ») dans sa propre expérience, a également cité Sœur Emmanuelle qui a souligné la difficulté de « redonner l’espérance » à notre société occidentale. En citant le pape François dans la bulle d’indiction ou le concile Vatican II, il a mis en lumière les personnes à qui l’espérance ne demande qu’à être annoncée : les malades, les jeunes, les personnes âgées, les pauvres et les détenus.
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