On se souvient que les tensions entre Philippe Tayeb, président de l’Aviron Bayonnais et Yannick Bru, ont connu une très forte montée il y a quelques -. Le président a critiqué son ancien entraîneur pour avoir mis la main sur lui et les deux hommes ont également promis de porter l’affaire devant les tribunaux. Mais est-ce pour sa bonne entente avec Yannick Bru qu’un salarié a été licencié du club ? C’est ce qui a été affirmé jeudi, lors d’une audience aux prud’hommes.
Plusieurs accusations contre l’ancien salarié
Une ancienne salariée affirme en effet avoir été licenciée à tort, alors que le club de Bayonne a justifié son licenciement, selon les précisions de Sud Ouest, par une attitude sexiste lors d’une soirée d’après-match en demandant à un joueur de l’équipe, lors d’une réception, qui il préférait parmi plusieurs employées féminines du club. L’avocat du plaignant affirme que c’était une plaisanterie alors que les conseils du club en parlent « sexisme ordinaire ». Autre acte reproché au plaignant : le détournement de billets.
Pour l’avocate du salarié licencié, son client paie surtout le fait de « ne pas avoir les bons amis ». J’entends par là bien s’entendre avec Yannick Bru.
Pour résumer
On se souvient que les tensions entre Philippe Tayeb, président de l’Aviron Bayonnais et Yannick Bru, ont connu une très forte montée il y a quelques -. Le président a critiqué son ancien entraîneur pour avoir mis la main sur lui et les deux hommes ont également promis de porter l’affaire devant les tribunaux. Mais est-ce pour sa bonne entente avec Yannick Bru qu’un salarié a été licencié du club ? C’est ce qui a été affirmé jeudi, lors d’une audience aux prud’hommes.