Publié le 1 juillet 2024 à 16h26 / Modifié le 1 juillet 2024 à 16h47
A quelques secondes d’intervalle et un retour acrobatique de Jude Bellingham, la Suisse affrontait la Slovaquie en quart de finale de l’Euro 2024, samedi 6 juillet à Düsseldorf (18h). Ce sera l’Angleterre et c’est une chance pour la Nati. Jouer les Slovaques était un piège : la Suisse aurait dû endosser le rôle de favorite, tout le monde au pays aurait vu dans cet adversaire une opportunité inespérée d’atteindre pour la première fois les demi-finales. Et puis les joueurs de Murat Yakin se seraient finalement retrouvés face à un bloc hyper compact, très physique, n’hésitant pas à jouer dur et habile à exploiter les possibilités de contre-attaque.
L’Angleterre, c’est autre chose. Une grande nation du football mondial et une propension non moins historique à se croire supérieure. Des joueurs stars (Stone, Walker, Rice, Foden, Kane, Bellingham) qui, sur le papier, composent l’une des meilleures équipes de cet Euro. Et puis, sur le terrain, un collectif sans génie, qui peine à faire équipe. Cela aurait beaucoup ressemblé à l’Italie, deux crans au-dessus tout de même car les Italiens n’ont plus de star et l’Angleterre s’appuie sur une excellente défense.
Toute l’actualité à portée de main !
Pour seulement CHF 29.- par mois, accédez en illimité à tous nos articles. Profitez de notre offre spéciale : le premier mois pour seulement CHF 9 !
S’ABONNER
Bonnes raisons de s’abonner au Temps :
- Accès illimité à tout le contenu disponible sur le site.
- Accès illimité à tout le contenu disponible sur l’application mobile
- Plan de partage de 5 articles par mois
- Consultation de la version numérique du journal à partir de 22h la veille
- Accès aux suppléments et à T, le magazine du Temps, au format e-paper
- Accès à un ensemble d’avantages exclusifs réservés aux abonnés
Déjà inscrit?
Ouvrir une session
