Il s’agit également d’exploiter ces capacités et expertises pour servir et promouvoir le Patrimoine culturel et historique marocainen vue de contribuer à la développement scientifique, technique, professionnel, économique et culturel de la Nation, à travers la promotion du patrimoine culturel marocain et la contribution au rayonnement de ses valeurs ancestrales. Cette convention vise également à permettre aux parties signataires de contribuer à la gestion de ce centre.
Prenant la parole à cette occasion, M. Bensaid a indiqué que la sauvegarde et la défense des patrimoine matériel et immatériel nécessitent un engagement collectif et un effort soutenu, soulignant l’importance d’agir selon le concept de « culture pour le développement ».
Il a rappelé les rôles importants joués par société civile à travers le lancement de plusieurs initiatives, ainsi que l’université à travers la promotion de Recherche scientifiquepour la préservation du patrimoine matériel et immatériel.
La ville de Marrakech dispose d’une société civile dynamique qui a largement contribué au lancement d’un certain nombre d’initiatives au cours de cette année où la Ville Ocre est célébrée comme la capitale de la culture du monde islamique» dit joyeusement M. Bensaid.
« Cette convention s’inscrit dans ce cadre, puisqu’elle vise à défendre et sauvegarder notre patrimoine matériel et immatériel », a-t-il conclu.
Dans une déclaration à la MAP, le président de la Fondation Moulay Ali Cherif Al Mourrakochi, My Slama Alaoui, a estimé que « la signature de cet accord tripartite constitue une opportunité pour raviver l’esprit de notre authentique Patrimoine marocain« .
“Cette convention représente un véritable début, en s’appuyant sur les origines et les figures de ce pays, qui sont des modèles par leurs réalisations et qui incarnent et consacrent le patrimoine matériel et immatériel sous tous ses aspects”, a-t-il ajouté.
Dans une déclaration similaire, M. Bougadir a indiqué que la sauvegarde et la renaissance du patrimoine culturel matériel et immatériel bénéficient d’une grande attention de la part enseignants-chercheurs de LANGUES et science sociale au sein de cette université.
Et de conclure que l’UCA a œuvré à la création de plusieurs filières liées à la préservation du patrimoine, tout en veillant à former un certain nombre de diplômés, qui travaillent dans ce domaine, afin de préserver le riche patrimoine ancestral national.
