Toronto étudie un plan ambitieux pour des logements locatifs abordables

Toronto étudie un plan ambitieux pour des logements locatifs abordables
Toronto étudie un plan ambitieux pour des logements locatifs abordables

Le conseil étudiera un programme qui pourrait fournir un financement pouvant atteindre 260 000 $ par logement. L’objectif est d’accélérer la construction de plus de 2 600 nouveaux logements locatifs abordables répartis dans 18 projets.

Toronto est confrontée à deux crises du logement : une où il y a un manque de logements abordables et avec services de soutien pour les résidents marginalisés et vulnérables à faible revenu ; et un autre plus récent où la hausse des loyers a rendu la ville de plus en plus inabordable pour les travailleurs à revenu moyen, les travailleurs essentiels et les professionnels. écrit Abigail Bonddirecteur général du Secrétariat au logement de la Ville, dans un rapport qui sera examiné par le conseil.

De plus, le conseil municipal étudiera les mesures récentes prises à Hamilton pour remédier aux problèmes de rénovation.

Trop logement inabordable

Le rapport souligne qu’environ 48 pour cent des ménages de Toronto, soit 557 970 ménages, sont locataires. De ce nombre, 40 % vivent dans des logements inabordables, selon les données du recensement de 2021.

Le loyer moyen d’un appartement en copropriété de deux chambres à Toronto est de 3 139 $, selon le rapport sur le marché locatif du premier trimestre 2024. Chambre immobilière régionale de Toronto.

Des rénovations sont également au programme : Des rapports font état d’une tendance croissante en matière de rénovation à Toronto, où un propriétaire expulse illégalement un locataire en prétendant que le logement locatif doit être vacant pour entreprendre des rénovations ou des réparations. peut-on lire dans un rapport qui sera examiné par le conseil.

La crise du logement est l’une des priorités du conseil municipal de Toronto. (Les archives)

Photo : Radio-Canada / Patrick Morrell

Les rénovictions peuvent inclure le refus d’autoriser un locataire qui a exercé son droit de premier refus à revenir après la rénovation, l’augmentation illégale du loyer pour un locataire qui revient ou l’omission d’entreprendre des rénovations majeures après l’expulsion des locataires.le rapport continue.

Être inspiré par Hamilton

Le Conseil examinera l’analyse du personnel sur le règlement de Hamilton (nouvelle fenetre) concernant les permis de rénovation et le déménagement des locataires.

En vertu de ce règlement, un propriétaire sera tenu de demander un permis de rénovation municipal dans les sept jours suivant l’émission d’un avis d’expulsion à un locataire. Le propriétaire devra obtenir tous les permis nécessaires et fournir un rapport d’ingénieur confirmant qu’il est nécessaire que l’unité soit vacante avant que l’expulsion et les rénovations puissent procéder.

Le conseil examinera également :

Une action urgente est nécessaire sur l’ensemble du continuum du logement pour éviter que davantage de résidents, en particulier les locataires, ne connaissent une instabilité du logement et potentiellement se retrouvent sans abri. conclut Abigail Bond dans son rapport.

Selon les informations de CBC

 
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