Par
Editorial La Presse de la Manche
Publié le
20 novembre 2024 à 16h23
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L’exploitant d’un centre équestre près de Granville (Manche) est apparu devant le tribunal de Coutances le 19 novembre 2024répondre à actes de violence sur deux de ses chevaux.
Une ancienne stagiaire avait réalisé une vidéo, qu’elle a mise en ligne sur les réseaux sociaux. L’association One Voice s’est saisie du dossier et est entré dans le parquet.
Un montage selon le prévenu
Le avertiet homme de 29 ansa admis avoir eu un geste d’irritation face à un cheval difficile, mais assure ne pas lui avoir fait de mal. Il a en fait frappé le cheval à la tête à l’aide d’une râpe et a fait prendre une radiographie. après la diffusion de la vidéo.
La radio n’apparaît pas pas de lésions. Il explique que la vidéo de septembre 2023 est un montage de plusieurs séquences, qui ne montre pas le contexte. Elle était mis en ligne en décembreaprès la rupture du contrat du stagiaire, et il voit cette démarche comme une forme de vengeance.
Des professionnels qui lui font confiance
Si quelques personnes témoignaient qu’il pouvait être brutalle vétérinaire qui prend soin de ses chevaux a dit qu’il était très attentionné et concerné de bien-être de ses animaux comme ceux-là qu’il embarquait.
Et huissier remarqua qu’ils s’avançaient tous vers lui, en toute confiance, dès qu’il se présentait à la barrière. De de nombreux professionnels faites-lui confiance pour dresser leurs chevaux.
Délibéré le 19 décembre
Quatre associations de défense des droits des animaux ont été formés parties civilesa demandé au tribunal d’interdire à cet opérateur d’exercer toute activité avec des animaux, et le paiement de sommes importantes au titre de dégâts.
Pour le procureurquelques secondes de vidéo ne reflètent pas l’activité de l’accusé. Il a été surpris par le nombre d’associations qui se sont mobilisées et demander de l’argent. En guise d’avertissement, une amende de 500 € est requis.
L’avocat de la défense dénonce les méthodes de ces associations, et considère que la véritable violence est la dénonciation sur le terrain. réseaux sociauxce qui conduit à de nombreuses menaces de mort.
One Voice a remis la vidéo en ligne la veille de l’audience, et l’opérateur a reçu plusieurs appels insultants et menaces la nuit suivante. Il a a plaidé pour la libération. Les tribunaux n’ont pas de décisions en délibération au 19 décembre.
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