« Chaque équipe s’appuiera sur ce qui a fait son identité cette année »

« Chaque équipe s’appuiera sur ce qui a fait son identité cette année »
« Chaque équipe s’appuiera sur ce qui a fait son identité cette année »

Ce vendredi, en conférence de presse, Yannick Bru, le manager de Bordeaux-Bègles, a expliqué comment il a abordé cette demi-finale de Top 14, prévue ce samedi soir à 21h05, face au Stade Français.

L’Union Bordeaux-Bègles compte bien jouer sa chance avec courage. Ce samedi soir à 21h05, l’UBB, qui a écarté le Racing 92 (31-17) dimanche dernier, en barrages, affronte le Stade Français, côté Bordelais, lors de la deuxième demi-finale de Top 14. Présent lors de la traditionnelle conférence de presse d’avant-match, Yannick Bru, manager du club bordelais, s’est confié, dans des propos rapportés par leAFPayant bien l’intention de maintenir sa philosophie de jeu : « Chaque match de phase finale a son scénario mais il est évident que chaque équipe s’appuiera sur ce qui a fait son identité cette année. Il ne s’agit pas de changer à deux matches d’ici la fin de la saison ce qui a fait notre force et notre confiance. Nous n’avons pas la même philosophie de jeu que le Stade Français, c’est ce qui est bien dans le rugby, il y a plein de façons de toucher la cible et chacun peut s’exprimer dans le rugby. . Nous croyons fermement en notre identité, notre jeu qui nous a donné du plaisir, qui nous a permis d’attaquer, ce qui n’a pas toujours été parfait durant la saison, mais nous sommes convaincus que c’est ce rugby-là qui nous mènera à la victoire. Il y aura une opposition de styles (…). »

Bru : « Nous nous sommes mieux posés les questions ces deux dernières semaines »

Cette saison, le Stade Français n’est cependant pas un adversaire gagnant face à l’UBB, qui a même perdu sa double confrontation (26-30 le 27 janvier, 22-18 le 19 mai) : « Quand on a trébuché deux fois contre un adversaire, on se pose mieux des questions. On s’est posé davantage de questions ces deux dernières semaines car honnêtement, on espérait jouer au Stade Français. Nous avons une bonne idée de ce qui sera contre nous. On a aussi une bonne photo de ce qu’on est capable de faire, de ce qui a construit notre confiance sur la saison, une bonne photo des embûches qu’on a vécues, dont certaines contre le Stade Français et des erreurs qu’on a commises. (…) »

 
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