prochain sommet sur l’Ukraine « pas en Europe »

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prochain sommet sur l’Ukraine « pas en Europe »

Le prochain sommet sur l’Ukraine « n’aura pas lieu en Europe »

Publié aujourd’hui à 16h11

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«Le prochain sommet sur la paix en Ukraine n’aura pas lieu en Europe», a déclaré lundi le chef de la délégation suisse. la conférence de Bürgenstock, l’ambassadeur Gabriel Lüchinger. Un hôte possible serait l’Arabie Saoudite.

Les pays intéressés doivent eux-mêmes prendre des mesures en vue d’une future conférence sur le conflit ukrainien. Ce n’est pas la responsabilité de la Suisse, a souligné M. Lüchinger sur la radio alémanique SRF. LE Bürgenstock était l’endroit idéal pour lancer le processus. Désormais, la Suisse agira en coulisses à la demande des États clés.

Comme l’ont montré les réactions de nombreuses délégations, tous les participants ont été enthousiasmés par la vision des montages, la météo et l’ambiance. Pour la présidente de la Confédération Viola Amherd et le ministre des Affaires étrangères Ignazio Cassis, cette conférence a été une bonne occasion de tenir des rencontres au plus haut niveau et de continuer à développer leur réseau pour la Suisse.

Peu de risques pris

L’ambassadeur considère la signature de la déclaration finale par 84 États comme un grand succès. Jusqu’à présent, la Suisse n’avait guère pris un risque aussi important que cette conférence, mais cela a payé. “Le plus important est qu’avec cette déclaration, nous avons entre les mains quelque chose que nous pouvons continuer à développer.”

Le diplomate a indiqué que certains États se sont retirés de la déclaration. D’autres ont été ajoutés. Il n’a pas précisé quels pays cela concernait réellement.

Intégrer la Russie

Gabriel Lüchinger s’est dit déçu du refus de la Chine de participer. Il souligne qu’il a personnellement rencontré l’envoyé spécial chinois pour l’Ukraine et la Russie à plusieurs reprises avant la conférence. Les discussions ont été fructueuses et la Chine a montré un vif intérêt pour le processus de paix. Cet important dialogue avec Pékin va désormais se poursuivre.

Il faut aussi que la Russie puisse désormais s’intégrer d’une manière ou d’une autre, ajoute l’ambassadeur. De de nombreux pays présents au Bürgenstock entretiennent de très bonnes relations avec la Russie et souhaitent utiliser leurs contacts.

ATS

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