José n’imaginait pas une telle mésaventure en se rendant au parc à conteneurs ! – .

José n’imaginait pas une telle mésaventure en se rendant au parc à conteneurs ! – .
José n’imaginait pas une telle mésaventure en se rendant au parc à conteneurs ! – .

L’histoire s’est déroulée en juin 2023, comme le racontent nos confrères de RTL.

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Devant chez lui, José remarque qu’une chaise a été abandonnée au bord de la route. « Un matin, je me suis levé et, alors que je sortais, j’ai aperçu un fauteuil au bord de la route. Je l’ai ramassé et je l’ai posé sur le trottoir, mais il gênait., il dit. « A 21 heures, je savais très bien que la déchetterie était fermée. Comme je passais de temps en temps et que je voyais que les gens laissaient des choses devant, j’ai décidé d’aller quitter la chaise. J’ai vu qu’il y avait une caméra. Je ne me suis pas caché. Je pensais que j’étais légal. Au lieu d’aller le déposer ailleurs… je pensais que ce ne serait pas un problème », il ajoute.

Seulement, une semaine plus tard, le 16 juin 2023, José reçoit une lettre des autorités lui annonçant qu’il a été filmé alors qu’il enlevait ce canapé. José affirme avoir répondu mais n’avoir rien entendu par la suite.


José montre où se trouvait le canapé – Capture d’écran RTL

“Mais, récemment, ce 28 mai, j’ai reçu une lettre recommandée sur laquelle il est écrit que je dois payer une amende de 400 euros.” José est aujourd’hui offensé par cette sanction, qu’il juge injuste, car selon lui, il s’est comporté seulement en bon citoyen. «Personne ne s’occupait de cette chaise. (…) Je trouve ça injuste, car si je l’avais abandonné en pleine nature et que j’avais été filmé, j’aurais été un pollueur. (…) Je ne l’ai abandonné nulle part», raconte José à RTL.

Il conclut : « Je ne savais pas que je n’avais pas le droit de le mettre là. Je pensais que lorsqu’ils arriveraient le lendemain matin, ils allaient ouvrir les portes, prendre la chaise et la jeter. Je ne pensais pas faire quelque chose de mal.

Les autorités locales ont justifié cette décision par le fait que José déposait ces déchets à 21 heures, heure de fermeture du recyparc, au lieu des horaires d’ouverture habituels.

« Il y a beaucoup de dépôts illégaux dans notre commune », explique la maire de Seraing Déborah Géradon.

 
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