Publié le 16 juin 2024 à 19h00 / Modifié le 16 juin 2024 à 19h05
Le sommet international du Bürgenstock touche à sa fin, et pour deux dirigeants, la pression baisse encore plus que pour les autres. Viola Amherd et Ignazio Cassis, car ce sont bien eux, ont soutenu et construit l’organisation pendant près de six mois, à travers des dizaines de rencontres, visites, entretiens téléphoniques et séances avec leurs homologues du monde entier. Leurs équipes de collaborateurs les ont bien entendu considérablement soutenus. Mais la pression pesait sur le président de la Confédération et le ministre des Affaires étrangères. Ceux-ci ont fait l’objet de critiques et de scepticisme, que ce soit à l’intérieur ou à l’extérieur de nos frontières, et ont servi de cible, si l’on pense aux attaques verbales primitives de la Russie contre Viola Amherd.
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