Une enquête sera menée par l’équipe de réponse aux incidents graves (SiRT) sur un incident survenu lors de l’arrestation d’une femme.
C’est à la demande de la GRC qui lui a soumis un dossier que l’organisme indépendant surnommé « la police de la police » va mener une enquête.
Les informations préliminaires recueillies jusqu’à présent suggèrent que des membres de la GRC de West Valley se sont rendus à la suite d’une dispute familiale le 13 juin et ont arrêté une personne.
Lors de l’arrestation, une femme est intervenue et une altercation s’est ensuivie entre les policiers et la femme.
La femme a été arrêtée. Lors de son arrestation, elle aurait été frappée au visage. La GRC l’a emmenée à l’hôpital, où elle a été examinée avant d’être libérée.
Le SiRT affirme assumer la responsabilité de l’enquête.
Le SiRT a le mandat d’enquêter sur tous les cas de décès, de blessures graves, d’agression sexuelle et de violence conjugale ou autres questions d’intérêt public pouvant découler des actions d’un policier en Nouvelle-Écosse ou au Nouveau-Brunswick.
Les enquêtes sont menées sous la direction et le contrôle d’un directeur civil indépendant qui a le pouvoir absolu de déterminer si des accusations doivent être portées à la fin de son enquête.
La semaine dernière, l’organisation a indiqué avoir reçu de la Division J de la GRC des informations concernant un membre actif de la GRC qui se livrait à des activités criminelles.
Le caporal Jeremy Bastarache, de la GRC au Nouveau-Brunswick, a depuis été accusé d’avoir pris des dispositions avec une personne, par le biais de télécommunications, en vue de commettre une infraction sexuelle avec une personne qu’il croyait âgée de moins de 16 ans.
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