Comme tout le monde, j’ai vu la vidéo des prières musulmanes dans les rues de Montréal.
Comme beaucoup de gens, pendant quelques secondes j’ai eu du mal à y croire.
Était-ce un coup monté ? Ce n’en était pas un.
Je me suis alors surpris d’avoir douté un instant.
Prières
Parce que les mêmes causes génèrent partout les mêmes effets.
En Europe, les prières de rue ne sont pas nouvelles et sont au cœur de l’occupation de l’espace public par les islamistes.
- Écoutez la rencontre Latraverse-Bock-Côté avec Emmanuelle Latraverse via QUB :
La méthode était toujours la même : ceux qui les organisaient affirmaient qu’il n’y avait pas assez de place dans les mosquées et que les fidèles devaient sortir dans la rue. C’était un mensonge, évidemment. Il s’agissait d’une technique d’occupation de l’espace public – on pourrait plus précisément parler de colonisation et d’islamisation de l’espace public.
Chez nous, le prétexte est différent. C’est au nom du soutien à Gaza que ces prières sont organisées.
Mais la logique est la même : l’islamisme progresse et veut imposer à la société d’accueil sa conception à la fois rigoureuse et conquérante de l’Islam, qui lorsqu’elle s’enracine quelque part, veut faire sa loi.
C’est du suprémacisme religieux – et souvent du suprémacisme ethno-religieux.
Evidemment, la gauche radicale détournera le regard et dénoncera surtout ceux qui s’inquiètent de cette conquête. Elle les accusera de racisme, de xénophobie, d’islamophobie, de dérive vers l’extrême droite. C’est le rituel habituel de diabolisation.
Elle osera même, rassurons-nous, comparer ces prières aux processions de la Fête-Dieu d’antan.
Multiculturalisme
Notre société devra tôt ou tard ouvrir les yeux. L’islam ne doit certainement pas être confondu avec l’islamisme, et les musulmans en sont victimes.
Mais l’islamisme est indissociable de l’islam. Partout, il arrive dans ses bagages. C’est un effet incontestable de l’immigration massive.
Le multiculturalisme éclate sous nos yeux partout. Et pourtant, la classe dirigeante persiste à nous imposer ce modèle suicidaire.
