Une organisation précise pour la flamme olympique dans le Finistère

Une organisation précise pour la flamme olympique dans le Finistère
Une organisation précise pour la flamme olympique dans le Finistère

Le département et la préfecture gèrent l’ensemble des acteurs impliqués dans l’accueil de la flamme olympique et de son convoi d’une soixantaine de véhicules. Tout est précis sur le parcours du Finistère. Du départ le matin, à 8h, sur l’Imoca de Jean Le Cam à Port la Forêt, jusqu’au Quai Malbert à Brest le soir pour embarquer à 20h15 sur l’Ultim d’Armel Le Cléac’h.

Des centaines de policiers et gendarmes mobilisés

Durant cette journée, des centaines de policiers et gendarmes assureront la sécurité de l’événement dans les sept communes traversées, dont Quimper, Plougastel-Daoulas et Brest. 80 pompiers et plus de 700 bénévoles seront également sur le pont.

Mais l’objectif est de rester le plus accessible possible aux dizaines de milliers de spectateurs attendus. Tout en respectant les sites parfois sensibles. Comme la chapelle du Mont Saint Michel de Brasparts, dont l’accès sera réservé aux 200 écoliers et pompiers qui ont lutté contre les incendies à l’été 2022.

Une fête populaire et des images pour le monde entier

L’objectif du Département qui supervise l’organisation, avec la préfecture et le COJO (Comité d’organisation des Jeux Olympiques), est de réaliser une grande fête populaire pour les Finistériens. Et d’offrir de belles images du territoire au reste du monde, sur le même principe qu’une étape du Tour de France.

Des lieux emblématiques seront traversés, comme les Monts d’Arrée mais aussi la Pointe de la Torche, où un relais entre plusieurs surfeurs sera assuré sur l’eau. Le grand site de la Pointe du Raz aussi.

Et le symbole bien sûr, d’un marin à l’autre. Jean Le Cam pour commencer, Armel Le Cleac’h pour quitter la métropole vers les Antilles.

Un coût assumé

180 000 euros. C’est le même prix pour chaque département. Et “c’est une toute petite contribution, par rapport au coût assumé par l’Etat”précise Mael De Calan, le président du Conseil départemental.

Il espère des retombées économiques, grâce aux images diffusées dans le monde entier, qui pourraient attirer les touristes à venir visiter le Finistère.

 
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