Une école primaire de Montréal a pris une décision qui n’a pas plu à plusieurs parents en décidant de retirer certaines pièces musicales d’un spectacle juste avant sa présentation. Selon ce que rapportent plusieurs parents, les morceaux en question étaient principalement chantés en hébreu.
Au micro de Sophie Durocher, au QUB, Olivier Demers a choisi de devenir le porte-drapeau de cette situation regrettable.
«Ces chansons sont chantées depuis plusieurs années dans cette école», raconte le père.
Olivier Demers, citoyen et parent, dénonce au micro de Sophie Durocher la décision d’une école primaire de retirer certaines chansons du spectacle de fin d’année en raison du conflit israélo-palestinien, dans QUB :
Il faut savoir que cette école est un exemple de multiculturalisme. Chaque année, les étudiants sont appelés à promouvoir leur culture afin que d’autres jeunes puissent en bénéficier. Mais cette année, la direction en a décidé autrement, notamment en raison du conflit israélo-palestinien.
« Nous ne voulons pas confondre culture et guerre terrible », a déclaré M. Demers.
Selon lui, les parents ont tenté de trouver un compromis, mais sans succès. Il estime que cette « censure » ne devrait pas devenir la norme dans les écoles québécoises.
