Ignazio Cassis est indigne des Conventions de Genève

Ignazio Cassis est indigne des Conventions de Genève
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Suite aux accords de Munich en 1938, Dorothy Parker, femme de lettres, notait que « Chamberlain (était) le premier dirigeant de l’histoire à ramper à 400 km/h ». Cassis fait mieux, il est le premier conseiller fédéral au Département fédéral des Affaires étrangères à ramper sans bouger avec ses complices du PLR et de l’UDC devant ce qui est de plus en plus une théocratie autoritaire, l’Etat d’Israël.

En contradiction avec les Conventions de Genève qui protègent les civils, les blessés et les soldats en temps de guerre et dont l’Etat de Genève est dépositaire, Cassis rend la Suisse complice, entraînant la population suisse, en violation de la IVe Convention qui, je cite, assure la sécurité des civils en temps de guerre : ils ne peuvent être pris en otage ou déportés ; les punitions collectives sont interdites, et l’armée, même l’ennemie, doit assurer leur protection. Aucune mesure de représailles à leur encontre n’est autorisée.

Ne pas soutenir l’UNRWA (agence des Nations Unies pour les réfugiés palestiniens) reviendrait à accepter de participer à un châtiment collectif qui tue, blesse et affame une population civile. Je sais qu’on crie dans le désert pour demander à la Suisse de condamner l’État d’Israël, d’exiger le respect des Conventions de Genève et de tout faire pour que les parties au conflit se rencontrent sur un terrain neutre – en Suisse – et avec d’autres acteurs de la paix. bonne volonté pour mettre fin à ce cauchemar. Il s’agit enfin de parler d’une solution à deux États et de ne pas se dégonfler comme Cassis, qui donne une image déplorable de la Suisse, qui se retournera contre nous.

 
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