L’école Jean-du-Nord/Manikoutai crée la Fondation Husky

L’école Jean-du-Nord/Manikoutai crée la Fondation Husky
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L’école secondaire de Sept-Îles a créé la fondation Husky pour continuer d’offrir des activités scientifiques, sportives et artistiques accessibles aux élèves.

Les fonds amassés par la Fondation Husky permettront d’acheter de nouveaux équipements et de couvrir les frais de transport hors de la région, dans un contexte où le coût de la vie augmente.

Le président de l’organisme, Denis Clements, rappelle que dans une région éloignée comme la Côte-Nord, il est important de soutenir les jeunes, particulièrement lorsqu’ils partent concourir dans d’autres régions. Il espère également que la communauté sera présente lors des activités de financement de la fondation.

Par exemple, l’équipe d’improvisation doit voyager si on veut qu’elle acquière de l’expérience, voir ce qui se passe ailleurs. Nous voulons réduire les impacts financiers pour ces personnesil dit.

La directrice de l’école Jean-du-Nord/Manikoutai, Marie-Ève ​​Murray, souligne que les écoles des régions éloignées ne disposent pas d’enveloppes budgétaires supplémentaires pour couvrir les dépenses générées par les grandes distances parcourues par leurs élèves.

000$ pour un autobus pour amener les équipes, en plus des ressources humaines et de l’hébergement. Mais nous recevons le même financement que toutes les écoles de la province », « texte » : « C’est jusqu’à 15 000 $ pour un autobus pour amener les équipes, en plus des ressources humaines et de l’hébergement. Mais nous recevons le même financement que toutes les écoles de la province”}}”>Cela représente jusqu’à 15 000 $ pour un autobus pour amener les équipes, en plus des ressources humaines et de l’hébergement. Mais nous recevons le même financement que toutes les écoles de la provinceprécise-t-elle.

La directrice de l’école secondaire, Marie-Ève ​​Murray, se réjouit de la création de la fondation.

Photo : Radio-Canada / Michèle Bouchard

La fondation continuera également à prendre en charge les frais d’inscription à certains programmes.

$ à 10000$ pour accéder à des projets spécifiques. Nous voulons que cela reste gratuit », « texte » : « Ailleurs dans la province, les parents peuvent payer des frais de 2 000 $ à 10 000 $ pour accéder à des projets précis. Nous voulons que cela reste gratuit”}}”>Ailleurs dans la province, les parents peuvent débourser des frais de 2 000 $ à 10 000 $ pour accéder à des projets précis. Nous voulons que cela reste gratuitajoute le réalisateur.

Cet engagement plaît beaucoup aux étudiants, pour qui une plus grande accessibilité aux activités revêt une importance particulière.

Les tournois sont vraiment quelque chose qui rassemble une équipe, ce qui aide beaucoup au développement» partage Océane Neault, une élève de cinquième année du secondaire qui faisait elle-même partie de l’équipe de volleyball.

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Marianne Robichaud et Océane Neault s’engagent pour l’accès au sport.

Photo : Radio-Canada / Michèle Bouchard

Je vois mes amis qui font partie de ces sports, je les vois y évoluer et ensuite vraiment s’amuser. Je ne voudrais pas apprendre qu’ils doivent se limiter à cause des coûtsajoute Marianne Robichaud.

 
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