Barbarie à Namur, un homme battu, brûlé, violé et torturé pendant deux heures par deux agresseurs pendant qu’une Bertrigeoise filmait les faits

Barbarie à Namur, un homme battu, brûlé, violé et torturé pendant deux heures par deux agresseurs pendant qu’une Bertrigeoise filmait les faits
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Maxence, un Bertrige de 22 ans, a été condamné à dix ans de prison et à cinq ans de mise en liberté par le tribunal des peines près la cour d’appel de Liège pour avoir participé à une scène de barbarie perpétrée sur le boulevard Ernest Mélot à Namur, dans le appartement qu’elle occupait alors qu’un ami était emprisonné. En effet, la victime a été déshabillée, battue, étranglée, torturée, brûlée, coupée, frappée avec un tournevis et violée pendant plus de deux heures pendant que l’intéressé filmait la scène ! Dans la nuit du 5 août 2022, un homme se trouvait au domicile de Maxence.

Selon les agresseurs, tous deux appelés Youssef, c’est elle qui a indiqué quand les agresseurs pourraient le retrouver chez elle. L’un des deux Youssef accusait l’intéressé d’avoir eu une relation avec sa compagne alors qu’il était en prison. Les agresseurs ont commencé à frapper la victime. Tout s’y passait, des gifles, des coups de poing, des coups de pied et même des coups de bâton.

On l’entend rire

L’homme a été ligoté, poignardé et brûlé sur tout le corps, mais également au visage. Les agresseurs ont utilisé un bâton, mais aussi un verre pour le violer. Maxence a non seulement filmé une partie des événements, mais elle a également tendu le bâton utilisé pour infliger les violences et signalé aux agresseurs que la plaque chauffante était chaude. Sur la cassette, on l’entend rire et s’inquiéter du fait que les agresseurs brûlent la couette ! Les scènes insupportables filmées montrent une victime suppliante et allongée sur un matelas taché de son propre sang. Les violences ont duré plus de deux heures.

Dix-neuf blessures ont été constatées sur la victime. L’homme présentait des brûlures au deuxième et troisième degrés. Des lambeaux de peau tombaient de son corps. Alors que l’un des agresseurs avait quitté les lieux, Maxence est également parti.

J’ai des souvenirs désagréables de cette soirée»

Lorsqu’elle a vu arriver les policiers suite à l’intervention d’un voisin, elle a dénoncé l’agresseur qui a pris la fuite tout en tentant de faire croire qu’elle n’était pas là lors des violences. Elle s’est bien gardée de dire qu’elle avait filmé ces scènes dignes d’un film d’horreur. Elle a également déclaré que la victime était elle.ami.» La prévenue a déclaré qu’elle avait été contrainte de rester là par les agresseurs qui l’auraient menacée. “J’ai des souvenirs désagréables de cette soirée», a-t-elle indiqué lors de sa première comparution devant le tribunal. “Il fallait que je filme. Ils m’ont empêché d’accéder à la porte. Ils m’ont menacé avec un cran d’arrêt et une plaque chauffante.»

Entre-temps, les deux bourreaux ont été condamnés à 15 ans de prison. Ils n’ont pas fait appel. Leur condamnation est définitive. Entre-temps, Maxence a été condamné à 7 ans de prison. Le tribunal a décidé d’alourdir la peine infligée au détenu.

 
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