Pas moins d’un mois après l’élection présidentielle au Sénégal, l’expert en développement international Alioune Ndiaye sort un livre sur le chef de l’Etat sénégalais intitulé « Bassirou Diomaye Faye : De la prison au palais présidentiel ».
Alioune Ndiaye, professeur temporaire à la FST/UCAD, dans son ouvrage de 101 pages publié aux Editions Universitaires Européennes cherche à décortiquer le parcours politique du Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, son parcours de la prison au palais, son expérience en prison. et comment il a maintenu sa détermination politique, les défis de la présidence, entre autres points.
Dans les pages de son ouvrage, l’auteur révèle que le 5ème Président de la République du Sénégal s’est distingué par son engagement en faveur de la justice sociale, de la transparence et de la lutte contre la corruption. « Il a été un fervent défenseur des droits des citoyens sénégalais et a œuvré activement pour promouvoir une gouvernance plus responsable et plus démocratique au Sénégal », a-t-il témoigné, précisant que malgré cette épreuve, Bassirou Diomaye Faye restait déterminé à poursuivre son engagement politique et à défendre le intérêts de son pays et de ses concitoyens.
Aussi, il appelle la jeunesse à servir de modèle à la détermination de Bassirou Diomaye Faye qui, malgré les obstacles qu’il a rencontré, a su rester fidèle à ses convictions et à ses idéaux politiques.
Quant à son parcours de la prison au palais présidentiel, l’écrivain raconte une histoire captivante de victoire sur l’adversité et de succès politique. « Arrêté en avril 2023 et incarcéré pour des accusations contestées, Diomaye Faye a maintenu son intégrité et sa détermination malgré les obstacles. En détention, Diomaye Faye est resté fidèle à ses convictions politiques, continuant de défendre ses idéaux et de mobiliser ses partisans. Sa libération en mars 2024 a été accueillie avec enthousiasme par ses partisans, marquant le début d’une nouvelle phase de sa campagne présidentielle”, a-t-il raconté dans son ouvrage, précisant que le parcours de Diomaye Faye de la prison au palais est un témoignage inspirant de résilience, de détermination. et la foi en un avenir meilleur pour son pays.
Et de poursuivre : l’expérience en prison de Bassirou Diomaye Faye a été difficile. « Confronté à des conditions de détention éprouvantes, il a dû faire preuve de résilience et de détermination pour préserver sa santé mentale et morale. Malgré les défis, Diomaye Faye a trouvé la force de rester fidèle à ses convictions politiques et à sa vision pour le Sénégal», a noté l’expert en développement international, ajoutant que sa détermination politique n’a jamais faibli. « Malgré les pressions et les difficultés, Diomaye Faye est resté un leader charismatique pour ses partisans les encourageant à rester mobilisés et à poursuivre le combat pour un Sénégal meilleur.
En définitive, l’élection présidentielle de 2024 constitue un moment décisif pour Bassirou Diomaye Faye, estime-t-il. « Sa victoire historique a été saluée comme un symbole de la force de la démocratie et de la détermination d’un homme à transformer son pays pour le mieux. »
Selon ses écrits, la présidence de Bassirou Diomaye Faye sera confrontée à plusieurs défis majeurs, tant internes qu’externes. « Sur le plan intérieur, l’un des principaux défis consiste à gérer l’économie, notamment à contrôler la dette publique et à stimuler la croissance économique. Diomaye Faye sera confronté à une économie fragile, marquée par des taux de chômage élevés et une dépendance excessive à l’égard de certains secteurs», a rappelé Alioune Ndiaye qui cite qu’un autre défi majeur est la gestion des tensions politiques et sociales, la question des droits de l’homme et de la liberté d’expression.
Concernant le plan extérieur, l’écrivain dira que Diomaye Faye sera confronté à des défis liés à la sécurité régionale, notamment la menace que représentent les groupes terroristes dans la région. « Il a également dû gérer les relations avec les partenaires internationaux, notamment en matière d’accords commerciaux et d’aide au développement », souligne-t-il, invitant le guide suprême à investir davantage dans le capital humain et la qualité de vie.
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